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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 19:39

Durant l’été, les faits de violence se sont multipliés à Nantes.

Julien Bainvel, Conseiller Municipal de Nantes, Secrétaire National de l’UMP, exprime son inquiétude face à l’insécurité qui gagne Nantes et demande que des solutions pour l’endiguer soient mises en œuvre.

Plus de 200 voitures ont été incendiées depuis le début de l’année. Ces dernières semaines, la ville est devenue le théâtre de violences gratuites, de règlements de comptes et d’agressions, aussi bien dans les quartiers populaires que dans le centre-ville et même, jusque dans le CHU de Nantes : fusillades, passages à tabac, agressions à l’arme blanche,…

Jusque là plutôt préservée par rapport aux grandes villes françaises, Nantes est en proie à son tour au développement de l’insécurité.Cette montée de l’insécurité préoccupe les Nantais comme l’a montré la démarche « NANTES MA VI(II)E demain ». Pour la moitié des sondés, leur principale préoccupation est le besoin de sécurité.

La douceur de vivre qui régnait à Nantes semble voler en éclat à mesure que l’insécurité, couplée aux incivilités de tous les jours, occupe une place de plus en importante.

Des actes inédits, d’une violence inouïe, ne cessent de se produire. Des réponses doivent être apportées, l’ordre rétabli.

Face à cette situation Julien Bainvel demande au Maire de Nantes de prendre la mesure du problème et d’y répondre de manière pragmatique sans arrière pensée idéologique.

Car la majorité socialiste tente de masquer cette réalité et continue de nier le problème. Au niveau local, elle refuse de mener une vraie politique de lutte contre l’insécurité, alors qu’au niveau national par angélisme, la gauche encourage de plus en plus les délinquants à ne pas respecter la loi. Le nouveau projet de loi pénale Taubira en est une parfaite illustration.

Le Ministre de l’Intérieur a raison de s’y opposer, comme il a raison de demander le développement de la vidéo-protection. A Nantes, Jean-Marc Ayrault l’a toujours refusée au nom d’une idéologie permissive.

Pour Julien Bainvel, la sécurité est la première des libertés. Pour la garantir, il est important d’articuler des actions de prévention et de répression.

Dans ce but, il est plus que jamais primordial à Nantes de mettre en œuvre la vidéo-protection, de relancer les correspondants de nuit dans les quartiers, de sécuriser le réseau de transport public et de recentrer les missions de la police municipale autour du bon ordre, de la sûreté et de la sécurité publique.

Manuel Valls a réclamé la généralisation de la vidéo-protection à Marseille. Il serait bien inspiré de demander la même chose à Nantes.

Par Julien BAINVEL Publié dans : Ouvrez la à Nantes !

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20 août 2013 2 20 /08 /août /2013 10:37

Depuis plus d’un an, le Gouvernement tergiverse sur le dossier, crucial pour le développement économique du Grand Ouest, de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Au moratoire sur les expulsions a succédé le rapport de la Commission du dialogue.

Les conclusions ne remettent pas en question l’utilité et l’intérêt d’un aéroport du Grand Ouest par le transfert à Notre-Dame-des-Landes de l’aéroport de Nantes Atlantique. Dans le même temps, la situation pour les habitants de la zone ne cesse de se compliquer au quotidien.

Aussi, Monsieur le Préfet :

· Pourriez-vous nous indiquer quelle décision prendra l’État concernant ce projet ?

· Pourriez-nous préciser le calendrier qui sera retenu : lancement des travaux, phasage des opérations, mise en service de la plateforme aéroportuaire … ?

· Pourriez-vous nous indiquer comment l’État entend rétablir le droit sur la zone située aux alentours de Notre-Dame-des-Landes ?

· Enfin, pourriez-vous nous éclairer sur l’avenir de la piste de Nantes Atlantique ?

Par André TRILLARD Publié dans : Au Conseil général

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29 juillet 2013 1 29 /07 /juillet /2013 20:16

Monsieur le président,

Devenu, en une année, le président le plus détesté de toute la 5e République, vous vous interrogez peut-être sur ce record d’impopularité. Je viens – bénévolement – vous en donner la clé.

Contrairement à ce que beaucoup disent, ce qui choque le plus, dans votre personnalité, ce n’est ni votre effrayante mollesse, ni vos gaffes répétées, ni même votre criante incompétence, mais, jointe à tout cela, votre trop visible sécheresse de cœur. Depuis votre élection, le ciel a pourtant multiplié ses efforts pour humidifier l’atmosphère. Il n’a pas réussi à toucher votre cœur. Et cette sècheresse d’âme vous rend détestable.

Notez que c’est un ensemble : la sécheresse et même la dureté sont assez facilement tolérées chez une personne active, énergique, entreprenante. À l’inverse, le rigolard rondouillard reste, dans son lard, sympathique, quoique apathique, tant qu’il est généreux, affable et bienveillant. Mais réussir à être à la fois grassouillet et sec, flasque et roide – en un mot : mou mais dur, c’est votre secret. Celui de votre impopularité.

Votre sécheresse, vous l’étalez en permanence. La seule émotion que la misère d’autrui réussisse parfois à vous inspirer, c’est l’amusement. Face à la détresse des commerçants de Lourdes, par exemple : « Hé, hé, hé ! Votre saison est en croix ! Hi hi hi ! » Si ce n’est pas de l’inhumanité, qu’est-ce donc ?

En deux circonstances : envers les mourants et envers les homosexuels, cette inhumanité atteint des sommets.

Inhumanité face aux mourants

Un de vos enfants, Monsieur Hollande, fait une tentative de suicide (notez qu’il aurait des motifs, le malheureux). Comment réagissez-vous ? Essayez-vous de comprendre le message de détresse qu’il vous adresse ? Ou bien l’aidez-vous tranquillement à achever son acte, lui plantant un couteau dans le cœur, et déclarant avec votre sourire satisfait : « C’est lui qui a choisi ! » ?

Je pose la question pour la forme, vu que vous avez déjà donné la réponse. Vous êtes, monsieur Hollande, pour le suicide assisté. Ou plutôt : le suicide apaisé. Dans la bonne humeur. Avec quelques petites blagues, si possible.

Tout le monde sait pourtant, au moins depuis La Fontaine (La Mort et le bûcheron), qu’on peut appeler la mort sans souhaiter réellement mourir. Tous les spécialistes vous expliqueront que les demandes d’euthanasie proférées par certains malades sont très souvent des appels à l’aide. Ce qu’ils veulent, au fond, c’est seulement qu’on les entoure mieux. Mais il est tellement plus facile de déclarer en un cri de douleur : « Je veux mourir », que de détailler précisément ses besoins. Cela ne signifie aucunement qu’on veut vraiment mourir. Tout le monde le comprend. Tout le monde sauf vous, Monsieur Hollande. Vous aussitôt, vous tuez. Et vous proclamez, avec votre éternel sourire satisfait : « C’est eux qui l’ont voulu ! »

Quand on manque à ce point de la plus nécessaire des intelligence, l’intelligence du cœur, quand on est incapable d’entendre les cris de détresse des personnes dans la souffrance et qu’on pousse la cruauté jusqu’à les prendre au mot dès qu’elles appellent la mort, peut-on prétendre avoir un cœur ?

Inhumanité face aux homos

Même chose envers les homos, Monsieur Hollande. Là, je suis directement concerné, puisque je suis homosexuel. Du coup, j’ai pleinement ressenti le message de haine que vous m’avez adressé à travers la loi Taubira.

Message de haine, oui ! Une haine clairement discernable derrière le discours officiel (compassion, justice, égalité des droits,…) – cette haine froide qu’on appelle ordinairement : indifférence, égoïsme, mépris absolu.

Pourquoi, Monsieur Hollande, pourquoi cet empressement à prendre au mot l’infime minorité qui réclamait le « mariage gay » ? Pour payer vos dettes de campagne envers M. Bergé ? Sans doute. Mais aussi, et surtout, pour ne pas avoir à entendre le cri de détresse caché dans cette revendication farfelue. C’est tellement commode, n’est-ce pas ? On prend au mot, pour ne pas avoir à entendre la véritable demande. Et hop : l’euthanasie ! Et hop : le « mariage gay » !

La réalité, Monsieur le président, c’est que beaucoup d’homosexuels sont des blessés. Des blessés de la vie. Ils souffrent de leur état. Un certain malaise interne les avertit, plus ou moins clairement, qu’ils ont, en eux, quelque chose de déréglé. C’est d’abord la compassion qu’ils attendent.

Je vous entends d’ici : Pas du tout. L’homosexualité n’a rien d’une blessure. Regardez ces milliers de gens qui défilent chaque année lors de la Gay-Pride pour afficher à la face du monde leur fierté, leur joie, leur béatitude d’être homosexuel !

« La réalité, Monsieur le président, c’est que beaucoup d’homosexuels sont des blessés. Des blessés de la vie. Ils souffrent de leur état. Un certain malaise interne les avertit, plus ou moins clairement, qu’ils ont, en eux, quelque chose de déréglé. C’est d’abord la compassion qu’ils attendent. »

Toujours la même tactique, Monsieur le président. Prendre les gens au mot, sans regarder ce qu’il y a derrière. Un grand blessé aurait suffisamment de cran, suffisamment de fierté pour vous dire, avec un sourire forcé : « Tout va très bien » que vous le feriez immédiatement expulser de l’hôpital, en déclarant tranquillement : « Il l’a dit lui-même, tout va très bien ! »

Pas besoin d’être grand psychologue pour comprendre que la fierté ultra-affichée des militants gay, et leur extrême susceptibilité, cachent une blessure intérieure. Une blessure que je connais bien, monsieur le président, pour en souffrir moi-même. Je me rends compte qu’il y a en moi quelque chose d’anormal. Et je comprends très bien qu’on puisse, par fierté, se raidir contre ce constat. Surtout si d’autres personnes sont venues – consciemment ou inconsciemment, par maladresse ou par cruauté – appuyer là où ça fait mal. Réaction de fierté : Même pas mal ! Récupération immédiate du président au cœur sec qui ne veut surtout pas avoir à se soucier des autres : Vous voyez bien qu’il n’a pas mal !

Oui, une minorité d’homosexuels a demandé le « mariage gay ». Comme un fils de divorcés fait un caprice pour essayer d’attirer l’attention. Il réclame à grand cri un jouet dont il n’a rien à faire. Ce qu’il veut, c’est que ses parents se réunissent à nouveau pour l’aimer ensemble. Mais le père se croit d’une générosité indépassable en achetant le jouet. Pour faire taire les cris.

Encore ce père donne-t-il un vrai jouet ! Tandis que les homos n’auront jamais, jamais la réalité du mariage ! Tout au plus la noce – s’ils peuvent payer

Ce que vous manifestez par cette loi Taubira, Monsieur Hollande, c’est votre mépris universel. Votre morne indifférence pour tout ce qui n’est pas vous ! On se demande d’ailleurs, dans cette histoire, ce que vous méprisez le plus, le mariage ou les homos ? Vous le leur jetez comme on balance un vieux meuble à des brocanteurs venus sonner à la porte – ravi de vous débarrasser à bon compte, d’un seul coup, de l’un et des autres…

Vous connaissez la blague classique : Le socialisme aime les pauvres ; c’est pour ça qu’il les multiplie. Cette bonne farce vous amuse tellement que vous la refaites aux homos. Vous vous employez à les multiplier …

Car, non, Monsieur Hollande, contrairement à ce que raconte votre propagande officielle, on ne naît pas homo. Du moins, rien ne le prouve. Beaucoup d’homos sont des accidentés de la vie. Je sais bien que certains le nient frénétiquement, mais pourquoi les mêmes insistent-ils tant pour se faire appeler « gays », sinon pour cacher leur tristesse intime ? Pourquoi se sentent-ils si vivement agressés par les propos « homophobes » sinon parce qu’ils réveillent leur inquiétude intérieure ?

Tout semble indiquer qu’on ne naît pas homo. On le devient. Souvent malgré soi. Des chocs, des accidents, des circonstances assez diverses peuvent incliner un enfant en ce sens :

- l’homosexualité est souvent liée à une blessure affective à l’égard du parent de même sexe ;

- l’homosexualité peut être la conséquence d’un rejet par les camarades de même sexe, rejet qui peut lui-même avoir différents motifs (par exemple, une mauvaise coordination œil-main, selon la thèse du Dr Fitzgibbons) ;

- l’homosexualité peut aussi être une réaction à une éducation trop puritaine (cf. les explications du docteur Stocker),

- elle peut être, tout simplement, la suite de réflexes conditionnés contractés au moment de l’éveil de l’instinct sexuel.

- Etc. (Je ne prétends pas être exhaustif.)

Dans tous ces cas, l’homo perçoit son homosexualité comme une donnée de nature, presque innée, tant elle semble s’imposer à lui spontanément, sans avoir été choisie. Elle est pourtant la conséquence d’un accident (ou de plusieurs accidents successifs). Et elle est ensuite renforcée, comme toute habitude, par chacun des actes allant dans ce sens.

Maintenant, examinons votre politique.

Vous voudriez multiplier les chocs générateurs d’inversion sexuelle, que vous ne pourriez pas mieux faire :

• Vous favorisez l’union libre, le PaCS, le divorce et tout ce qui peut désagréger la cellule familiale : vous multipliez donc les blessures affectives,

• Sous couvert de bonté et de justice pour les homos, vous promouvez l’homosexualité à la télévision, à l’école et jusque dans le mariage. Vous influencez ainsi des jeunes qui, à cause de vous, seront enfermés dans une homosexualité qu’ils n’ont pas choisie. Une homosexualité qui ne les aurait peut-être jamais tentés s’ils n’avaient pas été atteints (comme je l’ai été, et sans l’avoir cherché) par des images les poussant en ce sens, juste au moment sensible.

• Enfin pour enfermer encore plus sûrement dans l’homosexualité, vous avez trouvé encore mieux que l’éducation puritaine : l’éducation « Gender ». La négation de la sexualité ! Combien d’adolescents seront, grâce à vous, désorientés, déséquilibrés, voire poussés au suicide ?

Beaucoup d’homosexuels sont des accidentés de la vie. Ils n’ont pas choisi l’homosexualité (du moins, pas entièrement). Ils n’y sont pas nés non plus. Ils y ont été poussés par des circonstances, des chocs, des accidents. Évidemment, des accidents, il y en aura toujours. On ne pourra jamais les empêcher tous. Mais le rôle des pouvoirs publics est quand même plutôt de les réduire que de les favoriser, non ? Or vous faites exactement l’inverse.

Vous prétendez aimer les homos. Mais vous favorisez l’homosexualité. Belle trouvaille socialiste, Monsieur le président : prouver son « amour » pour les accidentés en multipliant les accidents ! Quand on en arrive là, c’est sûr, on n’a pas de cœur, mais a-t-on encore un cerveau ?

Veuillez agréer, monsieur le Président, mes meilleurs souhaits de guérison.

Du même auteur :
> Le lobby gay est aux homos ce que le Parti communiste fut aux travailleurs

Colère d’un homo contre Hollande, le président au cœur sec, 4.7 sur 5 basé sur 414 votes

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Mots-clefs :"mariage" homosexuel, euthanasie, fierté, François Hollande, haine, Homosexualité, homosexuels, indifférence, Lobby homosexuel, mariage, mépris, Pierre Bergé, socialisme, théorie du gender, violences

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29 juillet 2013 1 29 /07 /juillet /2013 11:26

Chers Amis,

Je me permets de vous transmettre le communiqué de presse du Groupe Démocratie 44 sur les droits de plantation de la vigne au niveau européen. Bonne lecture.

Gatien MEUNIER, Secrétaire Départemental

Viticulture

L’encadrement des droits de plantation est acté

Les élus du Groupe Démocratie 44, rassemblant les élus de la droite républicaine, du centre et des sans étiquettes se félicitent du maintien de la réglementation des droits de plantation de la vigne décidé par l’Union Européenne.

Ils ont déposé un vœu en ce sens lors d’une session du Conseil Général, il y a de cela plus d’un an. Ils ont signé aussi de nombreuses pétitions et agi sur le terrain pour sensibiliser le grand public.

Ils ont rappelé l’urgence à agir et le risque que cette libéralisation faisait courir au vin français et au Muscadet notamment. Grâce à cette mobilisation et le rassemblement de toutes les forces pour cette cause noble, l’Union Européenne a changé d’avis. Cette conclusion est une belle leçon à ceux qui pensent que les élus locaux ont un pouvoir limité. Il s’agit bien d’une résonnance des actions volontaristes locales qui a participé largement à influencer les instances européennes.

Désormais, cette dérégulation n’aura pas lieu et un nouveau système d’autorisation entrera en vigueur dès le 1er janvier 2016. Il s’agit d’un subtil compromis entre des professionnels opposés à la dérégulation et la Commission européenne qui considérait cette réglementation comme dépassée.

Les principaux points de la réforme sont les suivants :

des autorisations devront toujours être délivrées pour toute plantation de vignes
elles devront être renouvelées tous les trois ans
la surface autorisée des plantations ne devra pas augmenter de plus de 1% par an
le système est valable jusqu’en 2030.

Pour les élus Démocratie 44, ce résultat favorable à la viticulture et à notre territoire est le fruit d’une véritable mobilisation des organisations professionnelles et des élus, tous unis pour la défense du vignoble. Les élus du groupe savent que cette identité viticole est un intérêt majeur pour l’économie ligérienne et la ruralité.

André TRILLARD et le Groupe Démocratie 44 au Conseil Général

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29 juillet 2013 1 29 /07 /juillet /2013 11:06

Fédération UMP de Loire-Atlantique

Chers Amis,

Je me permets de vous transmettre la tribune de Jérôme GUIHO, délégué de la 10ième circonscription sur l’avenir de nos retraites. Bonne lecture.

Gatien MEUNIER, Secrétaire Départemental

Avenir des retraites

Retraites : la Gauche au pied du mur !

Soyons clairs, c’est la Gauche qui est la principale responsable du problème de financement de nos régimes de retraite. C’est le pouvoir socialiste, obsédé par la volonté d’entrer dans l’histoire des conquêtes sociales, qui a décrété en 1982 le passage de l’âge légal de départ en retraite de 65 à 60 ans, au moment même où nos voisins européens songeaient déjà à repousser cette limite pour prendre en compte l’allongement de la durée de vie.

Prisonniers d’un bagage idéologique du passé, les socialistes ont été dans le déni permanent sur cette question fondamentale des retraites et n’ont jamais eu l’intelligence ni l’audace de soutenir la moindre réforme. Le choc démographique est une réalité indéniable mais le PS n’a rien voulu voir : là où nous avions 3 cotisants pour 1 retraité en 1985, nous n’en sommes plus qu’à 1,4 cotisants pour 1 retraité. La crise aussi est une réalité. Elle a dégradé les perspectives pour notre régime de retraite dont le déficit atteindra les 20 milliards d’euros en 2017 et nécessite de poursuivre les réformes engagées par notre famille politique. Car ce qui est certain, c’est que si la droite n’avait pas eu le courage de mener de grandes réformes en 1993, 2003, 2007 et 2010, la situation serait infiniment plus grave : notre système de retraite par répartition aurait déjà implosé.

François Hollande et sa majorité sont aujourd’hui rattrapés par la réalité et se retrouvent dans l’obligation de porter une réforme des retraites dont ils ont toujours contesté la nécessité pendant des années. Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette réforme est déjà bien mal engagée et qu’elle laisse apparaître au grand jour les divisions de la Gauche.

Au sein du Gouvernement deux lignes semblent se dégager : d’un côté ceux qui préconisent un rapprochement des systèmes public et privé, de l’autre ceux pour qui les inégalités entre les deux régimes ne sont pas si criantes. De son côté, comme pour mieux marquer sa différence, le PS qui vient de publier un texte d’orientation de neuf pages sur ce dossier des retraites défend l’idée d’une réforme a minima. Victime de son aile gauche qui plaide pour le report d’une réforme qu’elle juge « ni opportune, ni urgente », le PS s’enferre dans une posture tout aussi dogmatique qu’irresponsable. En réalité, la rue de Solferino s’inquiète des conséquences électorales d’une réforme à moins d’un an des élections municipales et européennes de 2014.

Tiraillé entre les injonctions de la Commission européenne, les craintes des syndicats et les dissensions internes à son parti, François Hollande sait qu’il marche sur des œufs. Reste à savoir si le souci de l’union des socialistes va l’emporter sur la crédibilité de la France vis-à-vis de ses partenaires européens à engager une réforme difficile. Des mesures en faveur des jeunes, de la pénibilité et de l’égalité hommes-femmes auraient les faveurs du Gouvernement et pourraient servir à compenser les sacrifices qui seront demandés aux entreprises, aux actifs et - pour la première fois - aux retraités eux-mêmes. En revanche, le problème des inégalités entre régimes n’est pas à l’ordre du jour. Pour le Gouvernement AYRAULT, la justice consiste à demander un effort similaire à tous, alors que tout le monde ne part pas du même point.

Pour dépasser le stade de la "petite réforme", les solutions sont pourtant connues depuis longtemps : reculer l’âge de départ à la retraite, cesser d’alourdir les prélèvements et le coût du travail, rapprocher les régimes de la fonction publique et les régimes spéciaux du régime privé. Ne pas oublier – enfin – le problème des petites retraites agricoles dont la pension moyenne (680 euros par mois) se situe aujourd’hui en France en-dessous du seuil de pauvreté. Lors de la campagne présidentielle, les socialistes s’étaient engagés sur le lancement d’un plan quinquennal de revalorisation des retraites agricoles : force est de constater que ce plan n’a malheureusement toujours pas été lancé.

Les Français réclament l’équité et attendent plus d’uniformité dans le système. La rentrée sociale risque d’être chaude à défaut de solutions équitables !

Jérôme GUIHO, Délégué de la 10ème circonscription

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29 juillet 2013 1 29 /07 /juillet /2013 09:20

Chers Amis,

Valérie PECRESSE, Secrétaire Générale déléguée de l’UMP, en séjour à La Baule, nous fait l’amitié d’une rencontre le :

mardi 20 août 2013 au restaurant de plage l’IPANEMA de 16h30 à 18h30.

A cette occasion nous échangerons sur tous les thèmes d’actualité et les craintes que nous pouvons avoir pour notre Pays devant la politique catastrophique menée par le Président de la République et son équipe gouvernementale.

Venez nombreux et n’hésitez pas à venir avec des amis.

Pour la bonne organisation de cette réunion, les consommations que vous prendrez, seront à votre charge.

Merci de confirmer votre inscription à cette rencontre par mail à : umplabaule-escoublac@sfr.fr

Dans l’attente du plaisir de se retrouver

Cordialement

François PINTE, Président

Gatien MEUNIER, Secrétaire Départemental

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29 juillet 2013 1 29 /07 /juillet /2013 09:16

Monsieur le Président,

Mes chers collègues,

Ce dossier me permet de revenir sur l’incident lié aux sols de l’Hôtel du Département du Conseil Général.

Comme vous le savez, alors que les services techniques procédaient au nettoyage du sol de son bureau, la Secrétaire de notre groupe a été victime d’un malaise le mercredi 15 mai dernier dans son bureau.

Après plusieurs rendez-vous médicaux, il s’avère qu’elle a été victime d’une intoxication à des produits solvants, intoxication qui a touché son visage, sa gorge ainsi que son œsophage.

Il semblerait que d’autres agents, dans d’autres bureaux de l’Hôtel du Département aient été touchés par ces phénomènes. Les sols après lavage dégageant de fortes odeurs, persistantes et créant chez plusieurs agents des problèmes de santé. Ces faits remontent à près d’un an selon nos informations.

Dès lors, je vous remercie de bien vouloir m’indiquer depuis quand vous êtes informé de la situation et les mesures que vous entendez prendre pour protéger la santé des agents du Département.

Par André TRILLARD Publié dans : Au Conseil général

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 07:52

En l’absence des élus concernés de la majorité (Gilles Nicolas Adjoint à la sécurité absent tout l’été, Johanna Rolland 1ère Adjointe, absente 1 mois…) Julien Bainvel et les élus du groupe Ensemble pour Nantes tiennent à faire part de leur vive inquiétude face à la montée de l’insécurité dans les rues de Nantes. Brétigny-sur-Orges, Trappes, Marseille, les faits de violence se multiplient en France durant l’été, y compris à Nantes jusqu’à présent préservée.

La ville est devenue le théâtre de violences gratuites, de règlements de comptes et d’agressions. Durant dix jours, la ville a connu des nuits d’insécurité aussi bien dans les quartiers populaires que dans le centre-ville et même, jusque dans le CHU de Nantes ! Fusillades, passages à tabac, règlements de compte et ce, parfois, devant témoins, ont pollué le quotidien des nantais. Ce qui relevait de l’exception semble devenir la règle.

Par ailleurs, plus de 200 voitures ont été incendiées depuis le début de l’année. Et la police, las, de reconnaitre que ces actes sont causés par « irrespect des institutions ». Les élus du Groupe Ensemble pour Nantes sont inquiets pour l’image du vivre ensemble qui se dégrade de plus en plus dans notre Cité. Les habitants de Nantes ne peuvent plus dormir tranquille de peur de retrouver leur voiture calcinée le lendemain.

Ils sont exaspérés par ces pratiques et veulent être entendus. Cette situation est d’autant plus intolérable que les suspects sont relâchés sous contrôle judiciaire et reviennent sur les lieux de leurs méfaits.

Les élus d’opposition rappellent que jusque là préservée par rapport aux grandes villes françaises, Nantes est en proie à son tour au développement de l’insécurité. Et la sécurité est devenue l’une des principales préoccupations des Nantais.

Ainsi, dans le cadre de la démarche « NANTES MA VI(ll)E demain», les habitants de la métropole avaient transmis leurs attentes relatives à l’évolution de la Ville ainsi que leur regard actuel sur la métropole. Il en ressortait que leur principale préoccupation était le besoin de sécurité, mentionnée par la moitié des sondés

Les élus du groupe Ensemble pour Nantes attendent une réaction de la part de la majorité socialiste qui masque et continue de nier le problème. Au niveau local, elle refuse de mener une vraie politique de lutte contre l’insécurité, alors qu’au niveau national par angélisme, la gauche encourage de plus en plus les délinquants à défier la Loi.

En réponse, ils proposent la mise en place de la vidéo-protection, le retour des correspondants de nuit dans les quartiers, la sécurisation du réseau de transport public et le recentrage autour de leur mission de maintien du bon ordre, de la sûreté et de la sécurité publique de la police municipale (davantage sollicitée pour contrôler le stationnement).

Par Julien BAINVEL Publié dans : Ouvrez la à Nantes !

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 08:35

Julien Bainvel et les élus du groupe Ensemble pour Nantes s’interrogent : les travaux auront-ils une fin à Nantes ?

Une nouvelle fois cet été, la Municipalité nous propose le chaos. La multiplication des travaux inquiète les commerçants du centre-ville déjà mis à mal par la politique d’accessibilité mise en place par la ville : pas moins de 12 chantiers lancés en juillet et 3 de plus en août. Et sur des axes structurants : boulevard Guist’hau, rue de Strasbourg dans le centre, mais aussi boulevard Dalby, boulevard des Martyrs-nantais, boulevard de Stalingrad, gare nord, rue du Croissant, route de St-Joseph, boulevard de La Baule…

Et certains chantiers sont à peine lancés que les entreprises en charge des travaux préviennent déjà qu’elles ne pourront pas tenir les délais (boulevard Guist’hau) !

En raison de la concomitance des travaux dans le centre-ville et sur les axes structurants, et d’un plan de mobilité complexe et pas actualisé, la circulation sera un véritable calvaire (la passation d’un marché d'ordonnancement et de coordination des chantiers du centre-ville, lancée par Nantes Métropole ne semble pas avoir porté ses fruits).

De plus cette session de travaux arrive alors que le Voyage à Nantes vient d’être lancé. Nantes ne sait pas répondre à la question de la cohabitation d’une activité estivale ambitieuse et celle des travaux. On l’a vu, cela peut avoir des conséquences négatives comme l’a illustré l’épisode désastreux des travaux à la Beaujoire ayant fortement pénalisé la Foire Internationale.

Au-delà du déplacement en voiture, c’est le centre-ville piétonnier qui en subit directement les frais. Les commerçants le ressentent. La fréquentation est en chute comme l’atteste les bornes de comptage de la CCI.

Pas question d’entendre la métropole se justifiée en disant « nous n’avons pas été bons » comme il y a quelques semaines à propos des travaux sur l’île de Nantes.

Car à chaque session importante de travaux, c’est la même chose. On ne sait plus comment circuler dans Nantes, faute d’information, de déviation, d’anticipation.

Pourquoi ne pas mettre les moyens importants de communication dont dispose la ville pour informer correctement les habitants amenés à emprunter cet axe ?

Pourquoi ne pas correctement informer les usagers des transports publics qui, parfois, se retrouvent devant le fait accompli quand l’arrêt voulu est devenu inaccessible ?

Pourquoi ne pas prévoir plusieurs itinéraires bis, mis en place bien en amont afin de répartir le trafic sur plusieurs axes routiers ?

Pourquoi n’informer les automobilistes qu’au dernier moment, arrivés face à la route barrée ?

A Nantes, on gère les déplacements de la 6ème ville de France sans aucune considération pour les Nantais qui subissent de très nombreux désagréments et nuisances.

Le quotidien des Nantais se dégrade toujours davantage en raison de la multiplication des travaux et du manque d’information. Julien Bainvel et les élus d’opposition demandent une vision d’ensemble et une action concertée, car comme le soulignait le document de travail « Ma ville demain, Nantes 2030 », « les déplacements à l’intérieur de l’agglomération remettent en cause l’accessibilité et la fluidité de la métropole, et peuvent devenir à moyen terme un inconvénient.

Par Julien BAINVEL Publié dans : Ouvrez la à Nantes !

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 08:24

Julien Bainvel, Conseiller municipal de Nantes, prend acte du passage de deux tronçons du périphérique nantais à 70 km/h.

Cette mesure en vigueur entre la Porte de Gesvres et la Porte de Carquefou et entre le Pont de Cheviré et la Porte de Bouguenais doit permettre de mieux réguler le trafic routier d’un périphérique saturé aux heures de pointe et de réduire la survenance d’accidents sur ces portions.

Il rappelle également que la réduction de la vitesse sur le périphérique permettra une limitation des nuisances sonores ainsi qu’une amélioration de la qualité de l’air.

Pour autant, cette mesure utile n’est pas suffisante.

En effet, pour améliorer les conditions de vie des nombreux habitants vivant au bord du périphérique, dans des logements pour la plupart construits avant la création du périphérique nantais, il faut limiter les nuisances sonores qui sont aujourd’hui insupportables.

Julien BAINVEL a été à la rencontre du collectif antibruit Nantes Erdre et s’est rendu sur place pour constater la réalité vécue par ces habitants au quotidien.

Aussi, pour lui, d’autres mesures doivent être prises :

- la mise à 70km/h de toutes les portions habitées du périphérique ;

- le remplacement des revêtements en priorité sur les secteurs habités,

- la mise en place de protections phoniques dans ces secteurs. Car même à 70 km/h les nuisances sont importantes ; la limitation de vitesse n’est pas toujours suffisante.

D’autre part, ces aménagements ne sauraient faire oublier la trop longue liste des points noirs sur le périphérique:

- le tronçon intérieur entre la Porte d'Orvault et la porte de Rennes ;

- le tronçon extérieur entre la Porte de la Chapelle et la porte d'Orvault ;

- la Porte d'Armor, du fait d'un trafic dense sur le rond-point d'Atlantis, ce qui ne risque pas de s’arranger avec le réaménagement du boulevard de la Baule. ;

- le pont de Bellevue en intérieur ;

- le tronçon entre la Porte de la Beaujoire et la Porte de Gesvres ;

- le tronçon entre la Porte de Gesvres et la Porte de la Chapelle ;

- la Porte des Sorinières ;

- le Pont de Cheviré…

Pour Julien Bainvel la priorité doit être donnée au développement des transports en commun de communes à communes pour en finir avec le passage par le cœur de ville, à l’amélioration de la desserte plus en amont du périphérique et à la création de parkings relais. Ces solutions sont de nature à favoriser le report d’une partie des automobilistes sur les transports collectifs.

La congestion du périphérique est la conséquence de l’évolution démographique de la métropole et du département mais également de la poursuite d’un étalement urbain que les politiques de la Municipalité n’arrivent pas à enrayer. Comme l’activité économique reste concentrée sur la métropole, les déplacements en voiture se multiplient du fait de l’étalement de l’habitat et la grande majorité de ces déplacements n’ont pas d’autres alternatives crédibles que d’utiliser la voiture et d’emprunter le périphérique.

En conclusion, Julien BAINVEL précise qu’il n’est pas favorable au passage à 70 km/h de l’ensemble du périphérique. La volonté du Ministre de l’Intérieur de passer le périphérique parisien à 70 km/h ne doit pas être transposée à Nantes. Les situations ne sont en rien comparables.

Il souhaite que la majorité de Nantes Métropole n’accepte pas (comme elle en a l’habitude) une telle décision de l’État par pure soumission socialiste.

Communiqué diffusé le 12 juillet 2013

Par Julien BAINVEL Publié dans : Environnement

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