Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 10:23
 

 

le 21 novembre 2012
LETTRE OUVERTE

A ceux qui

FERAIENT MIEUX DE LA FERMER

 

et en particulier à Monsieur Fischer,

Sénateur communiste des Bouches du Rhône

 

 

Nous venons enfin de donner une sépulture décente au général Bigeard, l’un des plus grands soldats que l’Armée française s’honore d’avoir eu dans ses rangs.

 

J’ai servi en Algérie comme lieutenant sous les ordres de ce grand chef que nous sommes des millions de frères d’armes à admirer.

 

Je viens d’apprendre que vous vous étiez répandu en propos injurieux à l’encontre de ce chef prestigieux.

 

Qui êtes-vous donc pour vous permettre de telles vilenies sur une personne que vous m’avez probablement jamais rencontrée … ?

 

Vous êtes sénateur ? et alors ? Communiste qui plus est !

 

On croit rêver. Malheureusement, il s'agit d'un mauvais cauchemar de vous voir ainsi paraître en moraliste innocent, vous qui avez soutenu et continuez de soutenir une idéologie qui, depuis 1917 et jusqu'à aujourd'hui, porte la responsabilité de cent millions de morts.

 

X

 

Au moment où éclate en 1957 ce qu'on appelle la "bataille d'Alger" vos séides se sont déjà tristement distingués. En avril 1956, l'aspirant Maillot, membre du parti communiste algérien détourne un camion militaire et livre au F.L.N. 263 armes en tous genres et leurs munitions.

 

En août de la même année, Yveton, employé communiste de l'E.D.F.-G.D.F. locale, pose une bombe à l'usine à gaz d'Alger. Il est fort justement guillotiné au mois de février suivant.

 

Et pendant ce temps-là en Europe les chars soviétiques dévastent Budapest et écrasent dans le sang l'appel à la liberté des Hongrois.

 

Vous souvenez-vous de l'été 1954 où l'Indochine nous rend des fantômes hagards, exsangues, décharnés qui, pour nous rejoindre, doivent enjamber les milliers de tombes des leurs assassinés dans les camps de "ré-éducation" par les commissaires politiques vietminh et français de vos amis… au motif de ce que vous appelez alors une guerre injuste.

 

Et les grèves de Berlin-Est et de Postdam qui laissent sur le pavé trois cents ouvriers hachés à la mitrailleuse des chars T 34 pour avoir osé demander une augmentation de salaire1 ?

 

 

Oseriez-vous évoquer la mascarade des procès staliniens d'Europe Centrale (Lazlo Rajk en Hongrie, Mazaryck et Benes à Prague), alors qu'au même moment plus de trois mille soldats de l'O.N.U., essentiellement américains, prisonniers des Nord-Coréens, disparaissent dans les camps sans avoir jamais laissé de traces ? Et les goulags en Sibérie devenus l'interminable cimetière de millions de prévenus politiques ? Et les purges de Staline où, les maires étaient tenus de fournir un pourcentage de leurs concitoyens à fusiller ; comme nous, vous avez lu ces pauvres listes de victimes expiatoires offertes à un holocauste idéologique. Ne nous dîtes pas que vous ne le saviez pas !

 

Vous nous trouvez ringard de remonter ainsi dans le temps. Alors revenons à l'Algérie et dîtes-nous ce que sont devenus nos harkis, ces braves volontaires qui avaient cru en la France et qui furent ébouillantés, empalés, déchiquetés.

 

 

Dîtes-nous ce que sont devenus les 2993 (chiffre officiel) Européens disparus sur leur terre algérienne entre 1954 et 1963 et dont les familles resteront à jamais sans nouvelle.

 

Et 1968 ? Vous souvenez de cette année où vous jouez facilement aux "héros" dans les rues de Paris pendant qu'en Tchécoslovaquie les chars russes écrasent le printemps de Prague et qu'en Chine la révolution culturelle élimine par centaine de milliers les "affreux bourgeois".

 

Faut-il évoquer ce 30 avril 1975 qui voit le départ du Vietnam du dernier Américain, ce qui fait titrer à l'un de vos journaux préférés "Saïgon libéré". Quelle libération, dîtes-nous ! En avez-vous parlé aux boat people ? Vous auriez eu du mal, la plupart d'entre eux ayant disparu en mer de Chine dans leur fuite éperdue vers la liberté pour échapper au communisme.

 

La même année, vous avez indécemment applaudi à l'entrée des Khmers rouges dans Phnom Penh. Quatre ans plus tard, on ne vous a pas tellement entendus, lorsque le voile s'est levé sur une des pires abominations de l'humanité : un habitant sur six massacré parce qu'il savait lire, écrire et compter un peu plus que les autres.

 

X

 

Il est facile dans l'absolu de condamner la torture, cette "souffrance physique que l'on fait subir à quelqu'un" (Larousse). Qui ne le ferait pas ? Seulement il se trouve que la guerre ne se fait jamais en théorie et dans l'absolu ; elle est contingente, par essence ; les décisions et les actions qu'elle génère ont toujours des circonstances particulières, sans cesse renouvelées.

 

J'étais lieutenant au 3° R.P.C. du colonel Bigeard. Ce n'est pas de gaieté de cœur que nous quittions le djebel pour venir à Alger suppléer une police défaillante.

 

Qui nous lançait dans cette galère ?

 

Le général Massu dîtes-vous ? Que je sache, il ne s'est pas approprié les pleins pouvoirs de police. Un ministre les lui a donnés, le même, sans doute, qui avait suggéré l'engagement des forces armées dans les opérations de maintien de l'ordre, avant le rappel de nos réservistes en mai 1956 et le maintien pendant trente mois sous les drapeaux de ce brave contingent de la classe 54/2/b.

 

Cet été 1957, l'ambiance à Alger est éprouvante. Deux bombes viennent d'exploser, l'une en centre ville au bar-restaurant le Coq Hardi et l'autre sur la corniche, au Casino, déchiquetant des dizaines de jeunes pieds-noirs. Une psychose de terreur frappe les Algérois. Où et quand explosera la prochaine bombe ? Angoisse collective.

 

Par chance, une compagnie voisine met la main sur un suspect qui avoue appartenir au réseau des poseurs de bombes et révèle que le stock en réserve comprend 52 engins dont quatre viennent d'être posés quelque part dans la ville et activés. Puis-je en vouloir à mes camarades d'avoir bousculé cet assassin afin d'en obtenir des aveux précis ? Trois bombes ont pu être désamorcées, la quatrième explose au moment de l'arrivée des parachutistes tuant un caporal. Les 48 autres engins de mort peuvent être récupérés, ce qui donne l'occasion au ministre de féliciter notre chef de corps, le colonel Bigeard.

 

Comme dit le père Cordier " il est des cas où le mal est nécessaire dès lors qu'il évite le pire". Combien d'innocents les 51 bombes restantes auraient-elles tués ?

 

Personne n'a le droit de demander à ces soldats de se repentir pour avoir accompli une action salutaire, même si dans l'absolu elle était condamnable.

 

Personne, en tout cas pas vous, les communistes. Vous êtes disqualifiés depuis 1917, date de création de la Tcheka, la sinistre police politique de Lénine qui, de façon industrielle, torturait des gens, non pas parce qu'ils posaient des bombes, mais parce qu'ils ne pensaient pas comme eux.

 

L'un de vos inspirateurs, Jacques Duclos, pas très grand par la taille ni par l'esprit mais immense par la haine, a dit en 1947 : "Notre devoir est de combattre l'Armée française partout où elle se bat". Il a tenu parole.

 

Et vous, aujourd'hui, vous déterrez la hache de guerre !

 

Nous en prenons acte !

 

J’ai pris, pour vous écrire, l’attache de président des Anciens du 8ième R.P.I.Ma dont 395 des leurs ne sont pas revenus des geôles communistes du Tonkin où vos « coreligionnaires » les avaient laissés mourir de faim et de manque de soins. La plupart de ces jeunes Français n’avaient pas vingt ans.

 

Veuillez agréer, Monsieur le Sénateur, l’assurance des sentiments qui vous sont dus …. ceux du mépris

 

 

à : Monsieur Fischer

Sénateur des Bouches du Rhône

 

1 En 1990, après la chute du mur de Berlin où j’exerçais les fonctions de chef de gouvernement militaire français de la ville, j’ai pu vérifier l’exactitude de ces faits en ayant eu accès aux archives de l’armée est-allemande.


 

Par alliance-gaulliste-de-l-ouest.over-blog.com

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 10:15
UMP 44

Chers Amis,

Je me permets de vous transmettre la tribune de Laurence GARNIER, conseillère municipale d’opposition de Nantes sur la mobilisation de dimanche prochain. Bonne lecture.

Gatien MEUNIER, Secrétaire Départemental par intérim

Tribune de Laurence GARNIER : MOBILISATION DU 13 JANVIER

Dimanche 13 janvier, la « manif’ pour tous » rassemblera à Paris les opposants au projet gouvernemental d’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Depuis plusieurs semaines déjà, opposants et partisans de cette réforme, issus du monde politique, associatif ou bien simples particuliers, font entendre leurs voix pour faire valoir leurs arguments.

L’analyse de ces dernières semaines me suggère deux réflexions.

1) Une première question concerne la forme et pose la question suivante : est-il vraiment possible aujourd’hui en France, de débattre honnêtement et sereinement sur des questions de société ?

Le gouvernement a refusé d’ouvrir sur la question du mariage homosexuel un large débat de société. Il a choisi de faire porter le texte de loi par le ministre en charge de la Justice, et non par celui en charge de la Famille. A travers ce choix, le Premier Ministre voudrait faire croire aux Français qu’il ne s’agit que d’une simple question d’équité. Celui ou celle qui s’y opposerait serait donc favorable à l’injustice, tout simplement.

Plus grave, les partisans de ce projet de loi n’ont pas hésité, au cours de ces dernières semaines, à dénoncer la prétendue homophobie des opposants au mariage homosexuel – opposants parmi lesquels figurent pourtant en bonne place des associations de personnes homosexuelles. Rapidement, les uns se sont installés dans le rôle des « modernes » et des « progressistes », plaçant d’autorité les autres dans le rôle des « ringards » et des « intolérants réactionnaires ».

C’est sans doute cette idéologie simpliste qui autorise Madame Belkacem à soutenir ce projet devant les collégiens d’un établissement public, quand dans le même temps le ministre de l’Education Nationale et le Président de la République sermonnent les établissements privés pour que le débat « n’entre pas à l’école ».

Cet épisode gouvernemental est à rapprocher, au plan local, du déroulement des manifestations à Nantes. Alors que les opposants au mariage homosexuel ont été bloqués sur le cours Saint-Pierre, les partisans de la réforme, dix fois moins nombreux, ont pu défiler dans tout le centre-ville. Curieuse conception du débat, où seuls peuvent s’exprimer ceux qui soutiennent la réforme.

Ces dernières semaines ont donc démontré que la capacité de débattre librement et sereinement n’était jamais acquise et que l’intolérance n’était pas là où certains auraient souhaité la trouver. Ceux qui défileront dimanche ne sont ni pour l’injustice ni pour l’homophobie. Ils souhaitent simplement défendre leur conception de la famille et au-delà, leur idée de la société.

2) Ce qui me conduit à une seconde remarque sur le rôle du législateur. La mission qui lui est confiée est fondamentale : il s’agit de créer les conditions du « bien vivre ensemble ». A ce titre, sa priorité est de garantir, à travers les institutions, la stabilité de la société toute entière. Son objectif permanent doit être aussi de protéger les plus faibles et en particulier les enfants. De nombreux experts ont souligné, en dehors de toute idéologie, la nécessité pour la construction de l’enfant de ces deux repères affectifs et éducatifs. Comment imaginer de priver volontairement un enfant de l’amour exclusif qu’il ressent pour sa mère, et de l’admiration qu’il porte à son père ? Nous connaissons mal aujourd’hui les conséquences que pourraient avoir, pour ces enfants, le fait d’être privés de l’un de ces deux piliers. Nous ne pouvons que voir la souffrance des enfants qui, pour d’autres raisons, n’ont pas connu leur père ou leur mère et recherchent, souvent pendant de longues années, leurs racines et leurs origines. Alors pourquoi ne pas appliquer, comme nous savons si bien le faire comme dans tant d’autres domaines, un "principe de précaution" pour protéger les enfants ? Sur cette question qui touche aux fondements de notre société, il est en tous cas de la responsabilité de chacun d’entre nous de prendre le temps de mesurer les enjeux de la réforme proposée par le Gouvernement, et de se livrer à son propre jugement, sans céder aux sirènes du prêt-à-penser socialiste. Comme l’a souligné l’ancien Premier Ministre Lionel Jospin dans une tribune pour un grand hebdomadaire, « on peut respecter la préférence amoureuse de chacun sans automatiquement institutionnaliser les mœurs ».

Pour toutes ces raisons, j’appelle donc à une mobilisation la plus large possible dimanche prochain à Paris et invite tous les Nantais qui le souhaitent à se joindre au cortège pour défendre le bon sens face à l’idéologie.

Laurence GARNIER, Conseillère Municipale d’opposition de Nantes


IL RESTE ENCORE DES PLACES DANS LES CARS

Pour la grande mobilisation contre ce projet de loi le 13 janvier à Paris, il est encore possible de vous inscrire pour les cars au départ de Nantes La Baujoire (les autres cars étant complets) - Départ du parking de la Baujoire à 7 heures (retour vers 23 h 30)

Inscription obligatoire sur le site www.lamanifpourtous44.com jusqu’au vendredi 11 janvier

UMP 44
Partager cet article
Repost0
4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 16:33

Nantes : on manifeste contre un aéroport mais pas contre une mosquée géante…!!!

 

C'est pourtant vrai

La dixième mosquées de Naoned / Nantes

(17/11/2012) Ce samedi, des milliers de personnes manifestaient contre l’'implantation d'’un aéroport international à Naoned / Nantes. Ce même samedi, c’'est dans l'’indifférence qu’'ouvrait la plus grande mosquée de tout l'’Ouest Français, la dixième à Naoned.

Symptôme d'une civilisation en pleine décadence, le sort de quelques lapins prime la submersion du continent sous les flots de l'islam.

La presse le relate ce jour :

“La mosquée Assalam (la paix en arabe) ouvre ce samedi à Nantes, dans le quartier Malakoff. C’est le plus grand édifice dédié au culte musulman dans l'’ouest. Il pourra accueillir en même temps 1 200 fidèles. Le dôme du bâtiment principal culmine à 14 m. Le minaret haut de 17 m est constitué d’'un simple voile en béton, habillé de lames de verre, avec un écran plasma qui donnera l’'heure de la prière et la date du calendrier musulman.”

Si l'on peut estimer sans se tromper qu’'un aéroport a une durée de vie de 50 à 70 ans, pour une mosquée il en va tout autrement. Une mosquée, par évidence, s’implante pour l'éternité conformément aux principes du prosélytisme islamique et de la conquête des terres aux mains des infidèles.

Le long terme échappe aux esprits de notre époque. On s'échine pour des débats, disons-le très nettement, d'un pitoyable niveau en regard des enjeux. En 2012, la chute de l’'Europe sous les coups de l'’immigration islamique passe pour secondaire. Ou plus exactement, pour un non sujet. On s'écharpe bien plus volontiers sur un projet d'aéroport dont l'histoire ne retiendra pas même le futur nom. Querelle sur le sexe des anges comme au temps de Byzance alors menacée par le Turc.

L'’histoire retiendra qu'au début du troisième millénaire, l'étendard de l'islam fut dressé sur la capitale des Ducs bretons sans coup férir par les masses afro-islamiques, tandis que 15 000 ahuris protégeaient trois lièvres de l'expropriation.

Partager cet article
Repost0
31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 14:44


>

On ne peut pourtant pas dire que le Nouvel Obs est un journal de droite !!!
 Ca vaut le coup de lire ça.
 

Après six mois de Hollanderie :    --->    le Nouvel Observateur  écrit :
 
 Monsieur Hollande.
 Je ne vous appelle pas par votre titre, car, sauf le respect que je vous dois en tant que citoyen, je ne vous considère pas comme mon président.
 - Ô combien vous avez gesticulé lors de vos discours de campagne, dénigrant votre prédécesseur en disant que la situation de la France était de son fait, et que vous, 'moi président' , aviez toutes les solutions.
 - Qu'en est-il à ce jour ? Pouvez-vous regarder la France droit dans
 les yeux en disant que vous avez été honnête et que vous n'avez pas
>menti ?
 - Vous vous vouliez être à la tête d'un gouvernement exemplaire, et 'moi président', vous n'alliez pas vous entourer de gens ayant eu affaire à la justice. Presque tous, ce ne sont pas des casseroles qu'ils traînent derrière eux, mais des quincailleries !

 - Dois-je vous rappeler le passé judiciaire de votre premier ministre et d'autres membres du gouvernement ?  Ce fut là votre premier faux pas. Que dire de la nomination de Lionel Jospin ?
 
 Et d'Henri Emmanuelli ?
 
 Les vieux éléphants du P.S devaient sans doute vous manquer …"moi président" je serai le président de tous les Français, et il n'y aura pas de chasse aux sorcières … C'est ce que vous disiez.
 
 - Nicolas Sarkozy a vraiment été un président d'ouverture, et il l'a prouvé en nommant des ministres de gauche à son gouvernement.

 Et vous ? Qu'avez-vous fait ?

 Vous vous êtes contenté de nommer des amis, pour la plupart sans aucune véritable expérience, comme vous-même d'ailleurs … Et vous faites limoger des hauts fonctionnaires de l'état sous prétexte que ce sont des proches de votre prédécesseur.
 
 Sans parler de votre compagne qui fait 'virer' des journalistes qui osent s'exprimer. Bien sûr, les autres journalistes sont à votre botte, preuve en est que lors de vos interviews, ils n'osent pas poser les questions essentielles qui intéressent tant les Français, et lorsqu'ils en posent, vous les éludez par votre sens de la périphrase et du double langage.
 
 - Alors, aujourd'hui, faisons un nouveau constat de vos actions …en vacances ainsi que votre gouvernement.

Pensez-vous que ces vacances soient bien méritées ?
 
 Hormis créer des commissions, vous balader et serrer des mains, poser sur une photo dès que vous entendez le bruit d'un appareil, qu'avez-vous fait de concret ?

Pas grand chose …

 Hormis créer des impôts, détruire ce que Nicolas Sarkozy a mis en place, et faire en sorte que la classe moyenne passe à la classe basse......

 La philosophie du socialisme est une belle chose quand elle est réellement appliquée : être en faveur des classes les plus défavorisées. Mais ce n'est pas ce que vous faites car vous n'êtes pas pauvre et ne savez même pas ce que cela veut dire. Par vos mesures, vous faites en sorte de tirer la France vers le bas, je dirais même vers l'abîme.
 
 Elle est belle votre notion du socialisme !
 
 - Vous n'aimez pas les riches, cela est une chose entendue … Mais alors vous ne devez pas vous aimer vous-même !
 
 Car vous en faites partie … C'est si facile d'échapper à la fiscalité
 en créant des S.C.I. En ce qui concerne la valeur de vos appartements
à Cannes, avez-vous versé un dessous de table à l'agent immobilier
pour qu'il fasse une estimation si basse ?

 En parlant de Cannes, cela me fait penser au Fort de Brégançon … Votre
 compagne s'y est rendue en avion pour vérifier qu'il n'y avait pas de
 risques d'être surpris par des paparazzi durant vos vacances.
 
Qui a payé le billet ? Vous, elle, ou le contribuable ?
 
 Et les 14 cartons de coussins de luxe ? Qui paye ?
 
 Sans parler du coût de réaménagement des accoudoirs des Falcon (450.000 €) pour pouvoir y mettre du champagne … C'est vrai que ce n'est pas la même dimension que celle des bouteilles de jus d'orange de votre prédécesseur, qui ne buvait pas d'alcool ! Vous n'aimez pas les riches, mais vous aimez le luxe !

 - En parlant de Falcon, cela me fait penser à : avion.
 
 Avion me fait penser à voyage.
 
 Voyage me fait penser à étranger.
 
 Savez-vous, monsieur Hollande, quelle est votre image à l'étranger ?
 
Peut-être que durant vos balades au Tour de France, au Festival d'Avignon, aux J.O de Londres vous n'avez pas eu le temps de lire des journaux tels que 'The Economist' , 'Herald Tribune' ou encore 'Der Spiegel' …
 
 Vous devriez pourtant, et vous seriez (désagréablement) surpris … Ils
 ne parlent pas de vos frasques vestimentaires (qui pourtant ont fait
 la risée du monde entier), mais simplement de votre incapacité au
 niveau économique et de votre incapacité à gérer une crise.
 
 Il est vrai qu'au niveau économie vous devez être sur un nuage.
 
 - Durant votre campagne vous disiez être au courant de tous les
 chiffres, ce qui 'moi président' vous permettait de vous engager sur
 des promesses à ce jour utopiques et irréalisables, car vous vous êtes
 rendu compte de la réalité des choses.
 
 Tout comme vous vous êtes rendu compte que la situation de la France n'est pas du fait de Nicolas Sarkozy, mais du fait d'une crise mondiale.
 
Mais il est vrai que c'est tellement plus facile de critiquer et tout
 mettre sur le dos de son adversaire, même si cela manque cruellement
 d'élégance.

 Mais une fois que l'on est au pied du mur on le voit mieux, et c'est dans ce mur que vous menez la France.

 - L'Europe, le monde sont en crise, mais ce n'est pas la faute de Nicolas Sarkozy. Mais il est vrai que la France n'est pas concernée … C'est un pays riche aucunement concerné par la crise.
 
 La preuve en est, que vous annulez la dette de la Côte d'Ivoire. Dette
 dont le montant aurait pu éviter aux salariés de P.S.A de se retrouver
 sur le tapis. Dois-je vous rappeler, Monsieur Hollande, que la Côte
 d'Ivoire a, il y a quelque temps, chassé les ressortissants français
de façon violente, et que des soldats français sont morts pour les
 défendre ?


 Vous disiez 'moi président' je serai celui de la transparence.

Laurent Fabius fustige Nicolas Sarkozy qui a reçu le président de la
> Syrie … et vous ? Vous recevez en catimini le tyran sunnite Hamad Ben
> Issa El-Khalifa, roi du Bahreïn. Alors pourquoi ne pas l'avoir invité
 de façon officielle ?
 
 Soyez transparent comme vous disiez l'être !
 
 Beaucoup de Français aujourd'hui s'interrogent, et doutent de vous.

- Même les gens de gauche qui ont voté pour vous, doutent et ne croient plus en vous.
 
 Fin 1981, lors d'un sondage, plus personne n'avait voté pour François Mitterrand, dont vous vous réclamez être le fils spirituel.
 
 Mais contrairement à lui, vous n'avez aucun charisme réel, hormis
 celui d'avoir gesticulé durant votre campagne. Et d'appeler à vous une
 certaine catégorie de population en promettant le droit de vote (à un
 certain niveau) aux étrangers. Je ne vais pas fustiger moi-même, mais
 allez donc passer vos vacances dans certains pays …
 
 Vous verrez comment cela se passe … Mais c'est vrai, avec vos appels
aux voix, nous devons nous taire devant les musulmans que vous voulez
si bien intégrer …
 
 - Sachez, Monsieur le 'moi président', que la France n'est pas aveugle. Votre état de grâce n'a duré que peu de temps (voir les sondages), et  la France va se réveiller.
> Même les Français qui on cru en vous, subjugués par votre séance d'hypnotisme durant votre campagne, commencent à en avoir marre de votre immobilisme et de vos balades !
 
 Sans parler de la honte que nous fait votre compagne qui est bien mariée, mais pas avec vous, et vit donc dans l'adultère avec notre président !
 
 Ne pourrait-elle pas, au moins, rester discrète ?
 
 LA FRANCE N'EST PAS DUPE ET SAURA SE FAIRE ENTENDRE.
 
 Monsieur Hollande, votre place n'est pas à celle d'un chef d'état !

Toutes considérations politiques mises à part vous êtes souriant, ouvert au dialogue, aimant le sport et la bonne bouffe, bref, vous semblez être un homme sympa … Alors, soyez un homme sympa en quittant ces fonctions, car vous n'avez pas les épaules assez larges pour en assumer la charge.
 
 La rédaction.

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 09:18

  

Coup de gueule d'un amis

 

  

 


  

« Rend l’oseille Torreton! » Un emploi fantôme à la mairie de Paris, ça craint un peu pour critiquer Depardieu

22 décembre 2012 |

 

Emploi fantôme à la mairie de Paris

Philippe Torreton critique violemment la décision de Depardieu de s’exiler fiscalement en Belgique, alors qu’il bénéficie d’un emploi fantôme – grassement payé – à la mairie de Paris.

Philippe Torreton se fend d’un coup de morale contre Depardieu, et devinez quoi, le moralisateur encaisse chaque mois un gros salaire de la mairie de Paris … pour un emploi qu’il n’assure pas.

4 807,62 EUR bruts par mois pour une chaise vide depuis 2010

Le 29 mai 2010, Le Monde (1) dénonçait l’acteur Philippe Torreton, élu au conseil de Paris du 9e sur une liste socialiste, qu’il accuse d’être un « champion de la chaise vide », avec 23 absences sur 44 séances du conseil à mi-mandat.

Le seul petit problème, soulève dailyneuvième (2) c’est qu’un élu au Conseil de Paris touche 4 807,62 EUR bruts par mois, et que la dernière apparition de Torreton remonte au 9 février… 2010 !

 

Rend l’oseille Torreton ! Montre que ce n’est pas tout pour ta gueule !

Torreton : Tu piques l’argent des parisiens, tu fais une crise de jalousie parce que Depardieu ne prend rien à personne, et qu’il a le succès que tu n’auras jamais. Tu fais pipi par terre et tu te roules dedans parce que ton nom restera dans les mémoires… de tes tonton et de tes tatas, et tu te la pète moraliste ? C’est sur que si les mecs comme Depardieu, qui payent ton salaire à la mairie de Paris – alors que tu méprises les parisiens dont tu prends l’oseille sans assurer ta mission, se barrent à l’étranger, il va falloir trouver d’autres pigeons à plumer…


Partager cet article
Repost0
27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 11:58

Monsieur le Président,

Mes chers collègues,

 

Je me réjouis sincèrement de l’annonce de la construction de collèges publics à Vertou et Pontchâteau. Les besoins sont réels et l’engagement des municipalités avec des propositions fortes, crédibles et concertées est à saluer.

 

Je ne nie pas le besoin d’un collège sur le secteur Est de Nantes. Le collège Gérard Philippe de Carquefou est saturé et les conditions d’enseignement et d’accueil des collégiens n’étaient plus acceptables.

 

Vous avez indiqué à la presse faire le choix de Saint-Joseph-de-Porterie, dont acte !

Sur ce dossier, il faudra discuter avec Nantes Métropole pour obtenir le prolongement de la ligne C6 du Chronobus pour permettre aux carquefoliens de se rendre au collège. Car vraisemblablement la carte scolaire sera ainsi faite. La question des transports publics dans la desserte de ce futur établissement est primordiale.

Parallèlement, il nous faut travailler sur la rationalisation des collèges au niveau de la ville de Nantes. Les transports en communs sont très développés sur la ville, le nombre de collégiens stagne depuis plusieurs années et beaucoup d’établissements sont en situation de sous-occupation. 3 000 places potentielles sont disponibles dans les collèges nantais. Il faudra donc rationaliser notre parc sur Nantes pour doter les territoires en tension de nouveaux établissements ou y réaliser des travaux d’extension.

 

Dernier sujet, l’annonce de la construction d’un collège sur le secteur Savenay / La Chapelle-Launay. Le rapport qui nous est soumis ne tranche pas entre ces deux communes.

 

Je rappelle quelques principes qui guident habituellement nos choix et qui pourraient être appliqués dans ce dossier :

- 1) faire le choix de La Chapelle-Launay serait rompre avec une règle fixée par notre assemblée et que je partage pleinement : nous construisons uniquement dans les pôles de centralité. Clisson, Saint-Philbert, Ligné hier et demain Pontchâteau et Vertou.

- 2) faire le choix de La Chapelle-Launay compliquera considérablement la définition de la carte scolaire et des tracés de ramassage scolaire.

- 3) la communauté de communes Loire et Sillon a voté pour l’implantation du futur collège à Savenay, s’engage à porter les acquisitions foncières et à prendre en charge les aménagements connexes dont la réalisation d’un équipement sportif.

 

Je soutiens donc pour ce qui me concerne le site de Savenay qui est un pôle de centralité, qui permettra de faciliter et de rationaliser les transports scolaires, qui offrira une cohérence en termes d’offre éducative.

Par André TRILLARD

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 10:57

Monsieur le Président,

Mes chers collègues,

 

Le changement c’est maintenant !

 

D’abord le changement de vocabulaire !

Conserver les documents budgétaires d’une année sur l’autre m’a permis de relire le rapport que vous aviez soumis à notre assemblée au moment du vote du budget pour 2012.

 

A l’époque, le Gouvernement organisait l’asphyxie des départements, se désengageait massivement, ne compensait pas les transferts de compétences, faisait des prévisions budgétaires très optimistes, voire surréalistes.

 

Aujourd’hui, nous devons contribuer à « l’ambitieux effort de redressement dans lequel notre pays est engagé pour les 5 prochaines années ».

Dois-je vous rappeler que le Gouvernement ne cesse d’augmenter les dépenses publiques, d’embaucher du personnel d’État, d’augmenter les impôts et de nous promettre des économies sans jamais expliquer ni où, ni comment il entend les réaliser ?

Dois-je vous rappeler que la note de la France a été dégradée il y a quelques semaines, faisant suite aux annonces déconnectées du Gouvernement sur la compétitivité des entreprises ?

Dois-je vous rappeler que le taux de chômage n’a malheureusement pas autant augmenté depuis très longtemps et qu’il retrouve son niveau d’il y a 15 ans ?

Dois-je vous rappeler enfin que ce sont vos amis qui sont au pouvoir, même si certains dans notre assemblée, semblent en douter.

 

Sur les prévisions de croissance pourquoi ne pas avoir ajouté la phrase que vous aviez intégrée dans votre rapport l’année dernière : « cette estimation apparait d’ores et déjà très optimiste au regard des dernières prévisions de croissance ». En effet, nous serons loin des 0.8% prévus par le Gouvernement. Les experts tablent sur 0% et 0.3% au maximum.

 

Dans cette hypothèse ce sont 5 Mds d’euros que l’État devra trouver pour tenir les engagements de la France d’atteindre un déficit de 3% du PIB.

 

Je regrette le lobbying de nombreux socialistes, du Président de l’Assemblée nationale au 1er secrétaire du PS, qui prônent le non-respect de cette règle.

Cette attitude peut conduire l’Europe à sa perte !

 

Le changement de vocabulaire s’applique également aux concours financiers de l’État.

Au budget 2012, ces concours étaient inscrits à 51,6 Mds d’euros en diminution de 0,4% par rapport à 2011. Ceci vous faisait parler de désengagement de l’État.

Aujourd’hui, ces concours sont inscrits à hauteur de 50,5 Mds d’euros, soit une baisse de 2.1%. Mais vous nous expliquez aujourd’hui qu’une telle diminution est normale et surtout qu’elle se fait dans la justice.

 

Je pourrais multiplier les exemples, mais je pense que chacun a bien compris et pris conscience des mensonges véhiculés à l’encontre de l’État ces 5 dernières années.

Ceci explique en partie la très forte impopularité de l’exécutif qui s’est fait élire sur un double mensonge : 1) la crise n’existe pas – 2) tout est de la faute de Sarkozy.

Changement de vocabulaire mais aussi changement de ton ! Cette fois pour ce qui concerne la situation du département et de ses finances.

 

En effet, les marges de manœuvres se resserrent et les comptes de notre collectivité se dégradent sensiblement.

Vous justifiez cette situation par le repli des droits de mutations.

 

Certes les marges de manœuvres évoluent, tout simplement car les collectivités contrairement à ce que vous pensez n’échappent pas à la crise et font partie de l’État. Elles doivent donc au même titre que l’État faire des économies.

 

Ce terme est encore un gros mot pour la Gauche française il n’y a pourtant pas d’autres choix.

Et force est de constater que le Département de Loire Atlantique ne sait pas faire d’économies.

Je pourrai multiplier les exemples.

J’en prendrai simplement deux.

 

Le 1er : aucune économie n’est faite sur les frais de fonctionnement de notre collectivité. Les dépenses de personnel continuent inexorablement d’augmenter.

 

Le deuxième exemple concerne la dette. « Compte tenu des recettes présentées, le montant de l’emprunt nécessaire à l’équilibre du budget 2013 serait de 151,94 M€ en augmentation de 14,7% par rapport à celui inscrit au BP 2012 ».

 

Cette phrase de la page 15 démontre que vous partez des dépenses pour bâtir votre budget, ce qui ne viendrait à l’idée d’aucun particulier, d’aucune entreprise, d’aucune association, qui part de ses recettes pour établir son budget.

 

Tous ces éléments laissent présager un changement dans les promesses. Vous ne deviez pas avoir recours à une augmentation de la fiscalité jusqu’en 2016.

 

Je crains pourtant que vous renonciez rapidement à cette promesse. De manière directe en augmentant la taxe foncière par exemple ou de manière indirecte en instaurant une taxe pour financier l’Agence foncière ce qui permettrait de récupérer quelques millions d’euros.

 

Aujourd’hui, plus que jamais, l’heure est aux choix, l’heure est aux économies. Les seules économies qui valent doivent préserver l’investissement utile, les dépenses sociales, éducatives, d’aménagement du territoire. Pour faire ces économies, il faut réduire la voilure sur les dépenses de fonctionnement superflues et sur les compétences facultatives.

Bien sur faire des économies n’est jamais simple, faire des choix non plus. Mais la situation exige des choix, des décisions et du courage.


Par André TRILLARD

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 10:21
Monsieur le Président,

Mes chers collègues,

 

Ce dossier me donne l’occasion de revenir sur l’organisation de l’Agence de développement et de conseil.

En DM 3, nous avions exprimé nos inquiétudes concernant la création d’une usine à gaz. Nous avions également rappelé notre attachement au CAUE, à ses particularités et à son indépendance.

 

Nos propos rejoignaient d’ailleurs ceux de Mme FILIPPETTI, Ministre de la Culture, qui rappelait que « le rapprochement d’un CAUE avec une structure départementale apparait à priori contradictoire avec la loi et les statuts des CAUE qui doit en principe constituer en lui même une personne morale autonome ayant la forme d’une association ».

 

Vous nous aviez répondu être en désaccord avec les propos de la Ministre et que votre projet était conforme à la législation.

 

Le 16 octobre dernier, lors de la réunion que vous organisiez à Orvault, je suis intervenu pour redire mes inquiétudes concernant le CAUE.

Vous m’avez alors répondu devant les Maires présents que le Préfet avait donné son accord sur l’Agence et qu’en réalité le plus important reposait sur l’amélioration des services apportés aux communes de Loire Atlantique.

 

Pourtant le 13 novembre dernier, le Préfet de région vous a adressé un courrier, que je tiens à la disposition des Conseillers généraux par lequel il émet un certain nombre de remarques qui démontre que la constitution et l’intervention future de l’Agence ne sont pas bordés juridiquement.

 

Sur les modalités de réalisation des prestations intégrées dites « in house », le préfet rappelle que seules les collectivités actionnaires de la SPL pourront bénéficier de conseils. Le préfet ajoute « l’objectif de solidarité et d’équité départementale est atténué ».

 

Pour ce qui est du projet d’établissement, le Préfet rappelle que « l’Agence n’ayant pas d’existence juridique propre, elle ne pourra pas disposer de statuts ou d’un conseil d’administration comme cela est annoncé dans le projet d’établissement ».

 

Ce projet doit également être « complété pour préciser les modalités de fonctionnement et d’intervention des différentes structures constituant l’agence ».

 

Enfin, pour ce qui concerne le CAUE, le préfet rappelle qu’il est incontournable de préserver « l’identité, l’autonomie et les missions » de ce dernier. « Le CAUE doit pouvoir disposer d’un directeur propre à sa structure qui est nommé avec l’accord du préfet ».

 

Enfin, « je confirme qu’une SPL, contrairement à ce que mentionne le projet d’établissement, n’a pas vocation à effectuer de la maitrise d’ouvrage tout au plus de la pré-assistance à maitrise d’ouvrage ».

 

Le Préfet demande donc au Conseil général d’apporter des garanties sur ces points.

 

C’est bien la preuve que tout n’est pas réglé et surtout que l’ambition d’origine ne sera pas au rendez-vous pour les communes.

 

 

Par André TRILLARD

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 10:08

Monsieur le Président,

Mes chers collègues,

 

Vous vous en doutez, le Groupe Démocratie 44 ne participera pas au vote de ce dossier qui relève de la seule responsabilité de l’exécutif.

 

Vous me permettrez néanmoins quelques remarques.

 

Cette année, encore les dépenses de personnel seront en augmentation. Cette année encore vous créer des postes, 35,5 dans la présente délibération.

 

Nous ne pourrons pas indéfiniment agir de la sorte. Nous devons participer à l’indispensable effort de réduction des dépenses publiques.

Mais nous aurons l’occasion de revenir sur ce point au moment du vote du budget.

 

Un mot sur la déconcentration des services et ses conséquences en termes de ressources humaines.

Après votre élection Monsieur le Président, vous aviez créé le poste de Secrétaire général des services. Aujourd’hui, tout en maintenant ce poste, vous créer également une nouvelle direction générale avec la nomination d’un directeur des territoires.

 

Évitons de créer une véritable armée mexicaine de directeurs : un Directeur général, un secrétaire général, 7 directeurs généraux, 22 directeurs. Nous considérons que cela suffit très largement.

 

Et pourtant, vous avez décidé de nommer 5 des 6 directeurs des délégations territoriales. 2 d’entre eux sont d’actuels ou d’anciens collaborateurs politiques. Je constate, une fois de plus une perméabilité entre les services administratifs et les collaborateurs politiques.

 

Je ne fais aucun procès d’intention, je constate simplement que avez recours couramment à ces dispositifs.

 

Enfin, je souhaiterai que vous puissiez nous donner quelques précisions quant à la titularisation à venir des agents contractuels. Comme vous le savez, la loi du 12 mars 2012 prévoit la titularisation des contractuels sur la base de critères d’ancienneté.

 

Pourriez-vous nous indiquer :

-          quels agents sont concernés ?

-          le nombre de contractuels concernés en 2013 et dans les années à venir ?

-          la manière dont les choses vont se passer pour ces agents ?

-          les postes et sites sur lesquels ils sont susceptibles d’être titularisés ?

-          les modalités salariales pour les agents ?

-          et les coûts engendrés par ces titularisations pour les finances départementales ?


Par André TRILLARD

Partager cet article
Repost0
21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 10:43
UMP 44
ASSEMBLEE GENERALE DU 19 DECEMBRE

 

UNE ASSEMBLEE GENERALE PORTEUSE D’ESPOIRS

François PINTE, Président et Gatien MEUNIER, Secrétaire Départemental par intérim, ont remercié les militants de Loire Atlantique de s’être déplacés très nombreux à l’assemblée générale mercredi soir 19 décembre.

Après avoir remercié une nouvelle fois tous les militants qui sont allés voter le 18 novembre, ils ont dit toute leur satisfaction dans l’accord qui a pu être conclu entre Jean François COPE et François FILLON la veille, dans un esprit d’apaisement et de réconciliation.

Ils ont redit la nécessité de continuer une opposition sans relâche au Gouvernement de Jean Marc Ayrault mais aussi au niveau régional, départemental et municipal. Enfin, ils ont annoncé la mise en place du maillage territorial et d’un comité d’agglomération en vue de la préparation des prochaines élections municipales de 2014.

UMP 44
Partager cet article
Repost0