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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 10:49
Lundi 10 octobre 2011 1 10 /10 /Oct /2011 18:54
Monsieur le Maire,

Mes chers collègues,

 

Deux sujets retiennent notre attention dans ce dossier.

 

Le premier concerne les 11 dossiers de défense des intérêts de la ville dans des actions intentées par des Nantais contre des permis de construire.

 

Sur ces 11 décisions, (pages 4 et 5) plus de la moitié concerne le quartier Breil Barberie.

 

Depuis quelques temps, le quartier Breil Barberie connait une évolution importante, des mutations sensibles de son environnement

Ce qui se passe dans ce quartier est malheureusement assez révélateur d’une manière de faire qui ne privilégie nullement le dialogue. Ceci crée des tensions, des inquiétudes. Or la Mairie apporte trop peu de réponses, n’offre aucune vision, aucun espace de dialogue. Et la conséquence de cette manière de faire est résumée dans ce dossier : l’obligation pour la Ville de se défendre dans de très nombreuses affaires.

Ceci est préjudiciable pour tout le monde : pour l’expression de la démocratie locale, pour les finances publiques, pour remplir notre objectif de construction de logement.

Alors que le dialogue, l’explication et la transparence permettraient de résoudre bien des difficultés et d’arriver à des solutions concertées et acceptées par des Nantais qui dans leur très grand majorité sont ouverts au changement dans le respect de l’histoire et de l’identité de leurs quartiers. Nous croyons beaucoup aux vertus du dialogue, à l’intelligence des Nantais, et à leur volonté et leur capacité de co-construire la ville.

 

Deuxième point : le dossier n°2011-09-161, page 4, défense des intérêts de la ville 73, rue de la Marrière.

C’est l’occasion pour nous de revenir sur ce dossier qui concerne l’implantation d’une antenne relai rue de la Marrière.

Lors d’une réunion publique organisée le 20 avril, réunion constructive, Mme Bassal a demandé à l’opérateur de suspendre les opérations. Elle annonçait la tenue d’une réunion en mairie avec l’ensemble des acteurs afin de trouver une solution consensuelle.

Quelques jours après par courrier en date du 5 mai, Monsieur le Maire, vous annonciez au collectif de riverains que vous aviez demandé à l’opérateur d’abandonner purement et simplement son projet.

 

A ce jour, la réunion promise en mairie n’a pas eu lieu, le projet semble toujours d’actualité (preuve en est puisque la ville entend se défendre), et le collectif et les habitants du quartier n’ont aucune nouvelle.

Pourriez nous indiquer où en est ce dossier, nous dire quelle est votre position sur cette question, quel est l’état des discussions avec l’opérateur Orange.

Je ne reviendrai pas sur les propositions que j’ai eu l’occasion de faire et que j’ai pu présenter à Mme Bassal avant l’été.

Je profite de l’occasion, et j’en termine, pour relayer et appuyer la demande du collectif Launay Violette, qui sollicite l’organisation d’une réunion publique réunissant l’ensemble des acteurs en présence dans ce dossier. Vous avez été interpellé à plusieurs reprises (Monsieur le Maire, Mme Clergeau, Mme Meunier, Mme Bassal, Mme Choquet, M. Robert), par ce collectif sans donner de réponse à ce jour.

 

Je vous remercie de bien vouloir m’apporter des réponses à ces questions.

 

 

Patrick Rimbert, sur les questions d’urbanisme, m’a répondu que dialogue était fort à Nantes et qu’il n’y avait aucune problème de démocratie locale.

 

Aïcha Bassal m’a répondu qu’une réflexion globale à l’échelle de Nantes Métropole était en cours. Pour la Marrière, les choses avanceraient et la réunion promise devrait avoir lieu. Pas de réponse en revanche sur la demande du collectif Launay Violette.

 
 
Par Julien BAINVEL - Publié dans : Mes interventions en Conseil Municipal
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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 09:56
Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale | LEMONDE.FR | 10.10.11 | 18h38   

Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, et ancien ministre de la fonction publique, Christian Jacob, le 24 novembre.

Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, et ancien ministre de la fonction publique, Christian Jacob, le 24 novembre.AFP/LIONEL BONAVENTURE

 

Marc :  Jean-François Copé évoque une "proximité idéologique troublante" entre Montebourg et Le Pen ? C'est un peu le monde à l'envers non ?

 

Christian Jacob : Effectivement, l'un et l'autre sont sur la même logique d'une France repliée sur elle-même, avec des frontières fermées, alors que 25 % des Français travaillent pour l'exportation. Et la France est un grand pays exportateur qui doit être de plus en plus ouvert au monde. C'est d'ailleurs une des comparaisons que l'on peut faire avec l'Allemagne : celle-ci va chercher de la croissance à l'extérieur. Et nous, nous avons besoin de dynamiser et d'accompagner nos entreprises pour qu'elles soient également capables d'aller chercher cette croissance à l'extérieur.

Ce qui n'empêche pas la nécessité d'avoir une régulation sur les marchés mondiaux et que l'ouverture au monde, ce n'est pas l'anarchie. En cela, le discours de M. Montebourg est totalement inopérant. On peut comprendre l'intérêt du discours dans le cadre d'une campagne électorale, mais il est inapplicable et déconnecté de toute réalité économique.

Bernard : Est-ce que la défaite aux sénatoriales était une surprise pour vous ? Comment l'expliquez-vous ?

Christian Jacob : C'était une déception. Objectivement, on savait le score serré, mais je faisais partie de ceux qui pensaient que malgré tout on allait gagner. Cela s'explique par au moins trois raisons : une première mécanique, c'est-à-dire que nous avons perdu plusieurs élections intermédiaires - municipales, régionales et cantonales - donc il y a plus de grands électeurs de gauche qu'aux dernières sénatoriales. Ensuite, nous avons eu des divisions internes qui nous ont fait perdre six à sept sièges.

Et nous n'avons pas suffisamment bien expliqué la réforme territoriale, laissant la possibilité à nos adversaires de pouvoir dire n'importe quoi sur ce sujet.

André :  Pensez-vous que les candidats dissidents doivent être exclus définitivement du parti ? Sinon comment un parti peux faire respecter son autorité ?

Christian Jacob : Je pense que c'est un débat que l'on doit avoir. Il ne s'agit pas d'organiser systématiquement une quelconque chasse aux sorcières, mais en même temps, on ne peut pas accepter que certains, par intérêt personnel, sacrifient l'intérêt général du parti politique auquel ils appartiennent. Ce qui veut dire que s'il n'y a pas de règle clairement établie, sur chaque cas nous devons avoir un débat interne.

Albert :  Le Sénat de gauche peut-il contrer l'activité parlementaire de la majorité ?

Christian Jacob : Non, le Sénat dans l'opposition au gouvernement, c'est quelque chose dont nous avons l'habitude, puisqu'à chaque fois qu'il y a eu un gouvernement de gauche, le Sénat était à droite, donc dans l'opposition gouvernementale. Cela étant, cela modifie le processus législatif, cela peut le ralentir notamment, mais en aucun cas cela ne peut le bloquer.

Guest : La loi sur la dépendance devait être le grand projet de Nicolas Sarkozy dans la dernière année de son mandat. Il y a renoncé. Est-ce à dire que la majorité renonce à agir dans la dernière ligne droite ?

Christian Jacob : Non. D'ailleurs, ce que nous sommes en train de faire en ce moment dans le cadre de la préparation du projet de loi de finances montre que nous sommes complètement dans l'action au quotidien. Avec le premier objectif de réduction des déficits. Nous allons passer d'un déficit public qui était de 5,6 ou 5,7 %, à 4,5 % pour 2012.

Parallèlement, nous sommes en ce moment en train de voter une loi de simplification des procédures administratives pour les entreprises. La semaine dernière, nous étions sur un texte "consommation" sur la défenses des consommateurs. Donc sur la dépendance, cela reste évidemment une priorité, mais le contexte de la crise mondiale à la fois économique et financière nous oblige à le décaler sur l'année prochaine.

Albert :  Pour arriver à la présidentielle avec une vraie dynamique, Nicolas Sarkozy ne devrait-il pas s'avancer sur des projets audacieux : mariage homosexuel, euthanasie... ?

Christian Jacob : Chacun situe l'audace à son niveau. Ce que nous avons fait depuis cinq ans, notamment en matière de lois sur le plan de relance pour réagir face à la crise, le grand emprunt, la réforme des retraites, la réduction des déficits, la réduction du train de vie de l'Etat d'une manière générale, et pour la première fois depuis cinquante ans la réduction des dépenses publiques, je pense que tout cela a été à la fois audacieux et salvateur pour l'économie française...

Arnaud : La question de la bi-nationalité chère à Lionnel Luca peut-elle revenir devant le Parlement ?

Christian Jacob : Elle peut toujours revenir si des parlementaires le souhaitent. A titre personnel, je pense qu'on a aujourd'hui un système équilibré, et je ne vois pas l'intérêt de le remettre en cause. Un député peut toujours déposer une proposition de loi, s'il le souhaite, ce n'est pas pour autant qu'il y aura une majorité pour la voter.

Jean : La Droite populaire est-elle particulièrement active au Parlement ?

Christian Jacob : Oui, elle est active, mais en même temps, on lui en prête beaucoup plus qu'elle n'en fait en réalité. Mais c'est une composante de la majorité. La droite et le centre français se sont toujours appuyés sur trois familles politiques : les gaullistes, les libéraux et les démocrates-chrétiens. Donc dans un grand parti politique comme l'UMP, on retrouve bien évidemment ces différentes sensibilités.

Arno :  Il y a eu en juin une polémique, porté par la Droite populaire, au sein de la majorité parlementaire sur les radars routiers... quelle est votre position ? pour ou contre ?

Christian Jacob : On a réglé cette polémique. J'ai fait des propositions à l'époque au ministre de l'intérieur, Claude Guéant, qui les a reprises, notamment en mettant systématiquement en place des radars pédagogiques à chaque fois qu'on retirait les panneaux d'indication de radars. L'objectif pour nous est la sécurité routière, et donc si ces panneaux avaient un rôle pédagogique, il faut maintenir celui-ci.

Marc : Les divisions au sein de la majorité ne vont faire que croître à l'approche de la présidentielle. Comment alors espérer que la majorité puisse parler d'une seule voix sur la production législative ?

Christian Jacob : Ce qui se passe en ce moment, c'est précisément le contraire : les gens se rassemblent plus qu'ils ne se divisent. Plus on se rapproche de l'échéance présidentielle, plus les familles politiques de droite et du centre se rapprochent. On l'a vu avec Jean-Louis Borloo qui a renoncé à être candidat à la présidentielle. Je ne sais pas à ce jour si Hervé Morin ira au bout ou pas. Si Dominique de Villepin sera également candidat ou pas. Ce que je souhaite pour ma part, c'est que tous retrouvent leur place dans la grande famille rassemblée de la droite et du centre.

Albert :  Que reste-t-il au groupe UMP à réaliser avant la fin de la mandature ?

Christian Jacob : On est vraiment sur la dernière ligne droite. C'est le budget, la loi de finances. A huit mois de l'élection présidentielle, c'est la loi de finances et de financement de la Sécurité sociale. Nous sommes maintenant dans les retours de navettes de textes parlementaires entre le Sénat et l'Assemblée nationale. Entre le moment où l'on initie un nouveau texte législatif et le moment où il s'applique - décrets d'application sortis, etc. -, il faut un an

Louis : Vous qui êtes un parlementaire, ne pensez-vous pas qu'il est temps d'organiser des primaires à l'UMP permettant aux militants d'avoir un mot sur le choix de celui qui portera les couleurs du parti ?

Christian Jacob : Les primaires à l'intérieur de l'UMP sont prévues dans nos statuts. Elles peuvent être un recours lorsqu'un candidat n'a pas la capacité de s'imposer naturellement. Ce qui n'est pas le cas pour notre famille politique. Nous avons un candidat qui s'impose naturellement, c'est Nicolas Sarkozy.

Eric : Est-ce que François Fillon ferait un bon député de Paris ?

Christian Jacob : C'est d'abord à lui qu'il faut poser la question. Et aux Parisiens. Je ne suis ni François Fillon ni parisien.

Aline :  Quel est l'évènement le plus marquant que vous avez à la tête du groupe UMP de l'Assemblée nationale ?

Christian Jacob : Le coeur battant de la majorité, c'est la réunion de groupe du mardi matin. Chaque mardi matin, on a des débats parfois animés sur les textes à venir dans la semaine, et il faut trouver à chaque fois les arbitrages. Nous sommes actuellement en discussion sur le prélèvement exceptionnel sur les très hauts revenus, qui va faire débat. Nous avons eu celui sur la règle d'or que l'on a adoptée au sein de la majorité, le PS se refusant à la voter pour le moment. Il n'y a pas d'événement marquant en soi, chaque semaine a son lot d'événements.

Gerard :  Au début de son mandat, Nicolas Sarkozy avait promis de rendre des comptes régulièrement et personnellement aux Français sur son action, au final, il n'a pas tenu sa promesse et ce que l'on retient le plus, ce sont les polémiques. Est ce que les polémiques servent au final à masquer ses échecs ?

Christian Jacob : Les polémiques, par nature, ne servent ni l'intérêt général ni l'intérêt particulier du président ou de sa majorité. Et Nicolas Sarkozy est très présent sur le terrain, il fait au moins un déplacement par semaine en France métropolitaine, plus les nombreux déplacements l'étranger. Sa capacité d'initiative sur la scène internationale et européenne est aujourd'hui saluée par l'ensemble de nos partenaires. Et pour ce qui est de l'action "hexagonale", le temps du bilan arrive.

Barno :  Après la défaite des cantonales en Seine-et-Marne, êtes-vous inquiet pour vos mandats de député et de maire de Provins ?

Christian Jacob : Une élection se prépare toujours avec beaucoup de sérieux et de réalisme. Et la politique, c'est l'école de la modestie. Ceux qui l'oublient le paient souvent très cher. Et comme chacun de mes 576 collègues, je serai jugé sur l'action qui aura été la mienne pendant ces cinq dernières années.

Arthur :  Etes-vous favorable à la fin du cumul des mandats ?

Christian Jacob : Non, je suis attaché au système actuel, qui limite à deux mandats et qui plafonne les indemnités perçues à une fois et demie le montant de l'indemnité parlementaire. Parce que je pense que l'on est meilleur législateur si l'on exerce également une responsabilité locale. On légifère mieux sur le logement si l'on est confronté dans nos permanences de mairie à des gens qui ont des difficultés de logement ; de la même façon que l'on légifère mieux sur l'entreprise si l'on est en contact régulier avec les chefs d'entreprise. Et d'autre part, si un jour on arrivait au mandat unique, on serait reconnu davantage pour sa proximité avec les chefs de son parti politique que pour sa capacité à gérer localement.

J'explique tout cela en détail dans mon livre Le Bon Sens en politique, qui est sorti la semaine dernière aux éditions Eyrolles.

Eily :  Dans la fin du cumul des mandats, il n'est nullement fait allusion au fait que les parlementaires sont plus pertinents quand ils ont une expérience de terrain. Tout le monde l'entend. Ce qui gêne, c'est le fait qu'un parlementaire ne puisse pas assurer en même temps plusieurs mandats.

Christian Jacob : Il suffit de regarder les tableaux de présence. La plupart des députés que l'on retrouve en haut des tableaux de présence à l'Assemblée nationale sont souvent des députés qui cumulent des mandats. J'ai toujours été classé dans les vingt députés les plus présents et les plus actifs à l'Assemblée nationale, et pourtant je cumule mes deux mandats de député et de maire. C'est une question d'organisation et de méthode de travail.

Yann :  Pourquoi il n'y a pas eu une volonté farouche de communiquer sur toutes les réformes, sur le travail qui a été fait ?

Christian Jacob : Je pense que la crise économique et financière que nous avons vécue et continuons à vivre a masqué une part significative des réformes engagées. Cela étant, sans la politique économique et financière conduite, aujourd'hui, la France aura vraisemblablement perdu sa notation. Nos banques, et donc nous tous, puisque nous sommes tous clients des banques, serions dans des difficultés comparables à celles de nos amis américains.

Cela veut dire aussi que nous allons arriver au moment du bilan, puisque le quinquennat se termine, et aujourd'hui, notre situation économique montre que nous avons beaucoup mieux résisté que la plupart de nos partenaires. Et cela, personne ne peut le contester.

Nicolas : Pensez-vous que votre ami Jean-François Copé fera une bon candidat pour l'UMP en 2017 ?

Christian Jacob : Oui, mais comme le disait un de mes autres amis, Guy Drut, une haie après l'autre ! Et aujourd'hui, il faut être mobilisé à 200 % pour gagner 2012 avant de penser à 2017.

Audette : Pensez-vous que la retraite des députés doit entrer dans le système général ?

Christian Jacob : Oui, elle l'est déjà. La dernière réforme nous a engagés dans un système qui est à l'identique du système général.

Nicolas : Que compte faire l'UMP pour revenir sur le devant de la scène politique en 2012 et faire gagner Nicolas Sarkozy ?

Christian Jacob : A la fois valoriser les cinq années d'action gouvernementale et présenter aux Français un projet d'avenir, ce sur quoi Jean-François Copé travaille avec l'ensemble des cadres UMP depuis un an. Tenir l'objectif de réduction des déficits, renforcer l'harmonisation avec l'Allemagne, et maintenir la France à sa place de cinquième puissance mondiale.

 Chat modéré Eric Nunès
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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 09:36

Monsieur le Maire, mes chers collègues,

 

Je profite de cette délibération pour obtenir de plus amples informations et des clarifications sur les récentes annonces et contre-annonces faites ici ou là.

 

Au moment même où Madame Clergeau rappelait l’ambition de la Ville en matière d’équipements sportifs et déclarait très officiellement dans le magazine municipal de septembre 2011 que le Palais des Sports de Beaulieu serait restauré en mai prochain, elle annonçait dans la presse que ces travaux seraient repoussés le temps de construire une nouvelle salle de 3.000-4.000 places, jamais évoquée auparavant.

 

S’il est logique de se féliciter des bons résultats des clubs et sportifs nantais, encore faut-il les accompagner convenablement.

 

Les travaux indispensables au Palais des Sports seront-ils repoussés malgré les délibérations votées lors du conseil municipal de juillet 2010 ?

 

Cette annonce de Mme Clergeau n’est pas sans rappeler celle, l’année dernière, relative au projet de salle de 10.000 places (dossier en panne depuis).

 

Deux mois avant cette révélation aux médias, Mme Clergeau indiquait, très fermement, que seule la réhabilitation du Palais des Sports de Beaulieu était à l’ordre du jour et qu’il n’y avait pas de grande salle en prévision. Monsieur le Maire vous assuriez de votre coté qu’aucun projet de salle de 10.000 places n’existait, faute de moyens financiers suffisants.

Pourtant quelques semaines plus tard, le projet était annoncé. 

 

Il semble donc difficile de comprendre ce qui motive la politique d’équipements sportifs de la ville et de la métropole :

-                      le stade d’athlétisme couvert, promesse de 2001, devrait voir le jour en 2014 ;

-                      la piscine olympique, promise en 2008, n’est pas budgétée ;

-                      le stade de la Beaujoire n’accueillera pas l’Euro 2016 (un partenariat public-privé aurait pu être la solution pour ne pas grever les finances publiques, à l’instar du projet de gymnase de Malakoff dont vous félicitez à juste titre et qui coutera très peu à la Ville).

 

Aussi afin d’arrêter la gestion au fil de l’eau, de répondre à la demande des équipes locales et de combler les carences, les  élus du groupe Ensemble pour Nantes demandent la réalisation d’une étude des besoins en salles dans l’agglomération.

 

Car le fait de priver les sports professionnels d’équipements modernes, nécessaires à leur développement, les rend d’autant plus dépendants des subventions publiques.

 

Nantes a pris du retard face aux autres villes de France. Ce qui n’est pas digne de la dimension européenne que l’on veut lui prêter.

 

Les élus du groupe Ensemble pour Nantes demandent donc plus de clarté dans la politique d’investissements, des choix entre les projets afin de préserver les finances publiques et de l’innovation dans la recherche de financements.

 

En effet, depuis 20 ans l’absence d’investissements importants dans les équipements sportifs condamne Nantes à ne plus recevoir de compétions internationales majeures.

Je vous remercie.

 

Mme Clergeau m’a confirmé que les travaux au Palais des Sports de Beaulieu étaient repoussés au prochain mandat (c’est-à-dire après 2014) et qu’ils se dérouleront en 2 phases : l’extension de 4 800 à 5 300 places dans un premier temps, puis dans un second temps, les travaux sur les abords de la salle.

 

Pour ce qui concerne la nouvelle salle de 3 000 – 4 000 places : elle sera réalisée normalement avant la fin de ce mandat. Le site n’est pas encore choisi même si la proposition du Maire de Rezé de la construire à La Trocardière, intéresse la majorité.

Mme Clergeau a reconnu que la communication n’avait pas été parfaite, loin de là, dans la gestion de ce dossier.

 

 Julien  BAINVEL

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 10:53
LEMONDE.FR avec AFP  
 
 

 

A Paris, 3 200 retraités, selon la police, et 10 000, selon la CGT, ont défilé pour la prise en charge de la perte d'autonomie et la défense du pouvoir d'achat.

A Paris, 3 200 retraités, selon la police, et 10 000, selon la CGT, ont défilé pour la prise en charge de la perte d'autonomie et la défense du pouvoir d'achat. AFP/MIGUEL MEDINA

 

Ils étaient plusieurs milliers de retraités à défiler, jeudi 6 octobre, dans toute la France, pour dénoncer le report sine die de la réforme de la dépendance et la perte de leur pouvoir d'achat.

A l'appel de l'UNSA-Retraités, l'UCR-CFDT, l'UNAR-CFTC, l'UCR-CGT et de la FGR-FP, qui font du niveau des pensions une priorité, des manifestations ont eu lieu dans 110 villes. A Paris, ils étaient 3 200 selon la police et 10 000 selon la CGT, à Toulouse entre 450 et 1 500, à Nantes entre 350 et 1 000, à Metz entre 200 et 400 et à Montpellier quelques dizaines.

>> Voir notre télézapping Les retraités grognent, les socialistes cafouillent 

PROMESSE DE CAMPAGNE NON TENUE

Leur revendication phare : une grande réforme de la prise en charge des personnes en perte d'autonomie, quels que soient l'âge et le handicap.

"Depuis cinq ans le gouvernement promet de s'attaquer au problème de la perte d'autonomie, or rien n'est fait. On a bien compris que ce serait reporté après la présidentielle, or il est urgent d'agir", a déclaré Jean-Paul Tripogney, secrétaire général de l'UNSA-Retraités.

Promesse de campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, cette réforme, qui devait améliorer la qualité de la prise en charge des personnes âgées et en alléger le coût pour les particuliers, a été plusieurs fois reportée, dont la dernière fois fin août. Mais elle est la grande absente du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2012, présenté mercredi en conseil des ministres, même s'il est prévu comme chaque année des hausses de crédits pour les personnes âgées.

Autre promesse du gouvernement, la prise en compte de la pénibilité dans le départ à la retraite est encore à la peine. Depuis l'entrée en vigueur de la réforme, le 1er juillet, à peine plus d'un millier de salariés ont déposé une demande de retraite anticipée pour pénibilité, selon la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV).

>> Lire notre décryptage Le volet pénibilité de la réforme des retraites est à la peine

 DÉGRADATION DU POUVOIR D'ACHAT

Concernant le pouvoir d'achat, "qui continue de se dégrader", les cinq syndicats craignent une nouvelle diminution à cause du plan anti-déficit du gouvernement annoncé fin août. Dans le même temps, ils revendiquent une augmentation significative des retraites, en particulier pour les basses pensions, un minimum de pension au niveau du smic ainsi qu'une nouvelle modalité d'indexation.

 

"La plupart des retraités qui ont travaillé toute leur vie touchent moins de 1 000 euros par mois."

"La plupart des retraités qui ont travaillé toute leur vie touchent moins de 1 000 euros par mois."AFP/PHILIPPE HUGUEN

 

"La plupart des retraités qui ont travaillé toute leur vie touchent moins de 1 000 euros par mois, alors ne parlons pas de ceux qui ont un parcours professionnel en dents de scie !", souligne Roselyne Garcia, porte-parole de Solidaires. Car à l'augmentation des dépenses contraintes, s'ajoute celle des complémentaires santé, dont les tarifs croissent avec l'âge des usagers, et un problème de logement, notamment en maison de retraite, des pensions incomplètes particulièrement pour les femmes.

La réforme des retraites a introduit le recul progressif de l'âge de départ de 60 à 62 ans d'ici 2018, et de 65 à 67 d'ici 2023 pour l'âge de l'annulation de la décote. Les générations nées à partir de 1955 devront en outre cotiser 41,5 ans pour la retraite à taux plein.

Les socialistes ont apporté leur soutien aux manifestations, rappelant leur attachement à la retraite à 60 ans, et dénonçant la situation de Français au chômage et en fin de droits qui ne peuvent accéder à la retraite.

>> Lire notre décryptage Les socialistes restent flous sur la retraite à 60 ans

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 00:08

 Santé | Ajouté le 05.10.2011 à 20H32

La France a obtenu une nouvelle fois un prix Nobel. Jules Hoffmann, ce chercheur au CNRS de Strasbourg est notre fierté.
Dans cette crise économique, sociale, morale qui s’abat sur la France, que dis-je ?, sur le monde, voici une belle lumière qui nous éclaire.

Une grande leçon ! C’est par la recherche et par l’innovation que nous nous en sortirons. Le monde cache encore des mystères qu’il nous faut découvrir. Certes, parfois ces découvertes peuvent nous faire peur et bousculer certaines de nos certitudes. C’est souvent par la transgression que les mystères se font jour mais c’est aussi grâce à eux que le monde avance.

Actuellement, en France, certains en ont peur. A l’Assemblée nationale, nous avons eu il y a 2 ans un débat sur les organismes génétiquement modifiés. La peur a submergé les Français. N’allons nous pas trop loin ? Des écologistes ont violemment réagi, prônant la décroissance, l’arrêt de la recherche, le retour en arrière, c’est une pure bêtise ! La nouveauté fait peur, le principe de précaution mal appliqué est un frein à cette recherche et pourtant regardons le monde.

Les OGM, encadrés, surveillés, seront certainement une des pistes les plus importantes pour l’avenir pour l’homme. Dans tous les pays du monde, conscientes de ces enjeux, les recherches continuent, progressent et vont permettre de nourrir les milliards d’humains qui vont peupler notre monde. La France, jadis en pointe dans cette recherche, a pris un retard qu’il sera difficile de rattraper ! Déjà dans le monde, en Amérique du Sud, en Orient, des champs, des millions d’hectares de produits OGM sont cultivés. Nous, nous résistons stupidement !

Dans quelques années, j’en fais le pari, un prix Nobel sera décerné à ceux qui auront mené ces recherches, ce ne sera pas un Français bien entendu ! Dans quelques années les produits OGM seront tellement intégrés dans notre vie qu’ils ne feront plus peur.
La France n’a jamais exorcisé ses peurs et pourtant c’est par cette recherche de pointe que nous pourrons un jour sortir de la crise profonde actuelle.
Si j’ai pris comme exemple les OGM, j’aurais pu en pendre d’autres où la France a été la pionnière il y a longtemps mais elle est dépassée par ceux des pays qui ont osé !
Bravo à ce prix Nobel, bravo à la France, il faut qu’elle reparte de l’avant et redevienne le pays de la recherche.

Pr Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris
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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 00:06

 

Société | Ajouté le 06.10.2011 à 14H08
Nous sommes tous des fils de Steve Jobs, ceux qui ont 10 ans, ceux qui ont 90 ans. Il a révolutionné le monde de la communication.
Qui pourrait aujourd’hui comprendre le monde sans son Iphone, son Ipad ? Rapidité, fiabilité, beauté...

Quelles leçons tirer de cette épopée ?
D’abord, qu’aux Etats-Unis, tout est possible. D’une petite entreprise dans un garage à la deuxième entreprise américaine, il lui a fallu de la volonté, de la ténacité, des efforts et une grande espérance. Nous sommes bien loin, très loin de l’État-Providence que nous connaissons en France !

Ensuite, une extrême exigence, il voulait le parfait, il refusait l’à peu près, recommençait cent fois le projet jusqu’à ce qu’il le juge parfait et utilisable pour tous et pas uniquement aux États-Unis. Cette exigence s’accompagnait aussi d’une intelligence visionnaire prophétique. Il ne suffit pas d’être intelligent, il faut imaginer l’avenir. Quelle intelligence dynamique.

Enfin, il était d’une immense force. A l’intérieur de son entreprise, il l’a démontré, avec parfois un caractère bien trempé. D’ailleurs quand il est parti de son entreprise (renvoyé par ses coéquipiers), cette dernière a très vite sombré. Il a été rappelé en urgence et tout à repris, les profits sont revenus.

Il était d’une immense force aussi vis à vis de sa maladie. Quand il y a 6 ans et demi, ses médecins lui ont appris son cancer du pancréas et lui ont annoncé qu’il n’en avait que pour 6 à 8 mois, il a décidé non seulement de l’annoncer au monde entier, mais en ajoutant qu’il allait se battre, de 6 mois il a vécu 6 ans avec cette force incroyable.

Adieu donc, à ce grand homme, comme le siècle en produit peu.

Nous sommes les fils de Steve Jobs car il a changé nos relations avec le monde et avec les hommes. Dans quelques mois, dans quelques années, ce qu’il a inventé sera dépassé par d’autres nouveautés, d’autres inventions, mais il restera le pionnier, celui qui a osé, jamais un homme n’aura été aussi connu.
En Chine, les enfants connaissaient la pomme croquée, en Inde, en Afrique, partout auparavant l’histoire des découvertes, des découvreurs étaient éphémères ou circonscrite, aujourd’hui elle est universelle, c’est justement ça que Steve Jobs a réalisé.

Pr Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris
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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 00:00

 Société | Ajouté le 06.10.2011 à 15H10

La primaire, je l’ai dit, est un grand moment de démocratie… Grâce à ces trois soirées télévisées, chacun a pu découvrir le programme des six candidats socialistes. Auparavant, personne n’avait les avait lus ou si peu ! Je ne pourrai pas en faire le reproche à quiconque : c'est une prose qui tombe des mains.

Hier soir avait lieu le troisième débat télévisé de cette campagne. Mot d'ordre du PS : « courtoisie et cohésion ». Les visages sont donc restés souriants et affables malgré quelques piques, inévitables. On avait annoncé surtout que ce serait l'apothéose, la surprise, la révélation DU candidat. Chacun est resté fidèle à lui-même, croyant à sa destinée, sans se démarquer de ses opposants.

J'ai cependant été surpris par Martine Aubry. « Madame 35 heures » a évoqué l’hôpital, qu'elle connaît si mal. C’est en effet, elle, qui a instituée cette règle des 35 heures de travail hebdomadaire, règle qui a détruit nos hôpitaux du jour au lendemain. Aujourdh'ui, plus de dix ans après le vote de ces deux lois, il n’y a plus assez d’infirmières, plus assez d’aides soignantes. Bref, il est devenu impossible de travailler correctement et sereinement !

On ne dira jamais assez quelle catastrophe Martine Aubry a provoquée, et elle s’en vante ! Elle n’a rien proposé pour reconstruire un État affaibli par la crise, pas plus que les autres candidats du reste qui sont restés dans le registre de l'incantation. Le meilleur mot de Martine Aubry lors de cette soirée mémorable aura été : « il n'y a pas de réforme sans embauche », c'est ce qui s'appelle « dégraisser le mammouth »...

Voilà, c’est ça la démocratie, connaître les faiblesses des socialistes. Merci à tous les 6 !


Pr Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris
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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 23:47
 
SONDAGE - La candidature de Nicolas Sarkozy toujours impopulaire

 

Le chef de l'État marque quelques timides points auprès des Français, tandis qu'à droite, aucune alternative sérieuse ne se dégage.

SONDAGE - La candidature de Nicolas Sarkozy toujours impopulaire

Pour les sympathisants de l'UMP, Nicolas Sarkozy reste le candidat le plus à même de mener le combat en 2012. © Benoit Tessier / AP/Sipa

 
Alors que Nicolas Sarkozy n'a toujours pas officialisé ses intentions pour 2012, l'impopularité de sa candidature à la prochaine présidentielle persiste en dépit d'une légère embellie. Selon un sondage Ipsos-Le Point*, 58 % des Français sont hostiles à le voir se représenter contre 63 % en février dernier. 36 % d'entre eux souhaitent au contraire le voir briguer un nouveau mandat alors qu'ils n'étaient encore que 34 % il y a huit mois. Dans le détail, parmi ceux qui lui sont favorables, la part des convaincus a également augmenté. Ils sont ainsi 16 % à lui dire "oui, vraiment" contre 9 % en février dernier.

Du côté des sympathisants de l'UMP, le chef de l'État n'est pas contesté. Par rapport au moins de février, la candidature du chef de l'État a gagné 4 points de popularité (de 74 à 78 %). Même si les proches du parti majoritaire restent quand même 21 % (contre 24 % en février) à souhaiter que Nicolas Sarkozy renonce à un deuxième mandat.

Recours fragiles

Dans l'hypothèse où le chef de l'État ne se représenterait pas, les deux personnalités les plus à même de le suppléer seraient, dans l'esprit des Français, à quasi-égalité, le Premier ministre François Fillon (27 %) et le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé (26,8 %), loin devant Dominique de Villepin (18 %), Jean-François Copé (6,1 %) et Xavier Bertrand (2,7 %). Auprès des sympathisants de l'UMP, François Fillon creuse en revanche nettement l'écart avec Alain Juppé, 42 % contre 31 % (+ 11 points). Dominique de Villepin atteint lui péniblement les 10 %, toujours suivi de Jean-François Copé (7 %) et de Xavier Bertrand (5 %).

Pour autant, ces deux candidatures potentielles ne suscitent pas d'engouement particulier... Seuls 28 % des Français (27 % des sympathisants UMP) estiment que François Fillon serait "un meilleur candidat" que Nicolas Sarkozy, 15 % des sondés (21 % des sympathisants UMP) jugeant au contraire qu'il serait moins performant. Une majorité de Français (51 % et 48 % des sympathisants UMP) pensent qu'au fond le Premier ministre ne ferait "ni un meilleur, ni un moins bon candidat". Quant à l'autre recours possible, l'ancien Premier ministre Alain Juppé, 33 % des Français pensent qu'il ferait "un meilleur candidat" que Nicolas Sarkozy tandis que 19 % d'entre eux estiment qu'il serait moins bon. Sur son cas, les sympathisants UMP se montrent très partagés puisque 31 % y voient un "meilleur candidat" et presque autant (30 %) jugent qu'il serait moins performant que l'actuel chef de l'État.

* Sondage réalisé par téléphone, le 30 septembre et le 1er octobre 2011, auprès d'un échantillon représentatif de 962 personnes, selon la méthode des quotas.

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 11:43
Déficits, retombées économiques et touristiques invérifiables... découvrez le vrai bilan de la manifestation Estuaire.



Estuaire : le rapport accablant de la Chambre Régionale des Comptes
Retrouvez en cliquant sur le lien rapport-CRDC, le rapport complet de la Chambre Régionale des Comptes relatif à la gestion de l'association CRDC - Lieu Unique, en charge de l'administration de la Scène Nationale et de la manifestation Estuaire.


 

 

Mardi 23 Août 2011
Ensemble pour Nantes


pour mémoire

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 11:35
1 octobre 2011

La majorité sénatoriale est désormais de gauche. En perdant des élections locales et notamment les municipales, le collège de « grands électeurs » s’est modifié en se colorant en rose.
Ce constat étant établi, il nous faut maintenant vite rebondir et organiser la riposte et la relève. Alors que les instances démocratiques locales sont aux mains de l’opposition nationale, l’Association des Élus Régionaux de France dont je suis membre fondateur, voit sa raison d’être singulièrement renforcée. Les élus qui sont dans l’opposition ne font pas un travail facile, parfois ingrat. Un lien doit être établi entre tous. Un lien qui permettra de combattre, d’une seule voix, plus structurée, plus forte et plus audible, une ARF (Association des Régions de France) qui s’est muée en bastion anti-gouvernemental et auquel il faut répondre sur tous les fronts, celui de la défense de l’action de la majorité présidentielle, autant que celui de la dénonciation au quotidien de la gestion alarmante des régions depuis 2004.
L’échec au Sénat doit être un élément déclencheur. J’appelle les élus régionaux de la majorité présidentielle à nous rejoindre le 5 octobre prochain à Paris lors du 1er Congrès fondateur de l’AERF. Cette structure est une chance. Elle est un outil précieux pour la reconquête de nos territoires. A nous, conseillers régionaux, de nous en saisir sans plus tarder pour préparer les échéances à venir.

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